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Lara Fabian : "Camouflage" le 6 octobre


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Effet promo quasi nul...ça n'a pas d'efficacité. Elle devrait se concentrer sur ses deux singles. On est 1 semaine après la sortie de l'album ...et c'est pas comme si les deux singles, de loin les deux titres les plus accrocheurs avaient été usés tellement ils avaient été entendus.

 

Côté single possible (mais que c'est tôt pour parler de ça) : sorti de l'album, Chaméléon ou Communify (y a un côté "A Vous " de Céline Dion dans ce dernier ) font vite pétard mouillé ...Perfect, et we are the flyers (la vraie fausse bonne idée qu’elle exploite en promo) sont élégantes mais trop molles. ce serait bon si elle avait droit à une spéciale tv

 

I'm breakable ou We're the storm (et son côté un peu Coldplay) seraient pas trop mal en 3e simple

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Moi j'adore we are the flyers et en acoustique aussi !!

Après j'aime bien chameleon je crois, Growing Wings et peut-être Community et après j'ai pas trop écouté car je trouve l'album un peu plat et de manière plus générale je suis pas trop dans le mood Lara Fabian en ce moment... Les seules chansons qui passent bien, et me sont proposées par Deezer c'est Pourquoi pas l'exotisme, alléluia, et saisir le jour, Humana akapela, les homericains, et éventuellement dites-moi pourquoi je l'aime et tu me manques

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Interview dans " Closer " :

 

INTERVIEW - Lara Fabian, en pleine promotion de son nouvel album "Camouflage", s'est confiée à "Closer" et explique pourquoi elle ne se rend pas dans certaines émissions.

Lara Fabian vient de publier son nouvel album, Camouflage. Un disque tout en anglais, dont elle a accepté de parler avec Closer lors d'une longue interview. La chanteuse de 47 ans a aussi évoqué son parcours en France, l'état actuel du marché de la musique, ou encore les émissions télé en France où elle n'est jamais allée.

Closer : Deux ans après votre précédent album, vous revenez avec un album... en anglais !

Lara Fabian : J'ai toujours fait de la musique en anglais, c'est déjà le quatrième album dans cette langue. C'était un peu la suite des choses.

Votre premier album en anglais était sorti en 1999 et vous aviez réussi à percer dans quelques territoires. Depuis, presque rien à l'international. Comment le public se souvient de vous ?

Comme la chanteuse de Adagio ou bien de I Will Love Again et puis j'ai beaucoup tourné un peu partout en privilégiant un répertoire en plusieurs langues. Je me balade depuis des années avec un best-of qui comprend des chansons dans les quatre ou cinq langues dans lesquelles j'ai toujours chanté ou écrit.

Justement, comment est-ce qu'une artiste comme vous, qui avez débuté à une époque où on vendait beaucoup de disques vit le passage au streaming ?

Je continue pour la même raison que pour laquelle j'ai commencé : l'amour de ce que je fais. Toujours et encore. Ce qui m'anime, c'est la musique, sa création, ce qu'elle veut transmettre et ce à quoi elle peut contribuer.

D'ailleurs il y a de moins en moins d'émissions de variétés à la télé. C'est devenu un problème ?

Ça se transforme par autre chose : les réseaux sociaux ont aujourd'hui une place prépondérante ? Oui, il y a moins d'émissions de variétés c'est vrai mais il y a d'autres plateformes sur lesquelles la musique peut exister et se transmettre.

Les artistes passent de plus en plus dans des talks comme chez Laurent Ruquier dans On n'est pas couché ou chez Thierry Ardisson dans Salut les terriens. Vous jamais. Pourquoi ?

Parce que je ne sais pas faire. Bon j'avais fait Tout le monde en parle en 2005 mais c'est un exercice qui, je trouve, ne ressemble pas du tout à la musique. Je reste avant tout une musicienne, un auteur, un compositeur, j'ai une approche de mon métier qui est celle de l'artisan. Alors aller m'installer sur un fauteuil comme celui-là n'est pas en harmonie avec ce que je fais. Et je sais que c'est malheureusement les dernières plateformes qui restent, je le comprends. Mais j'ai du mal à me dire que c'est à ces endroits-là que la musique doit exister forcément. Je ne pense pas que ces émissions-là soient un danger. C'est plutôt une question de se sentir ou pas à sa place. Moi je ne me sentirais tout simplement pas à ma place.

Donc on ne vous y verra pas pour parler de Camouflage ?

Mais avec Laurent on s'est vus aux Grosses Têtes et tout s'est bien passé, on a bien rigolé. Je crois que chaque pays, chaque culture, a sa nature d'expression en terme de médias. Ici en France, on adore les talks, au Québec on aime un peu plus les variétés, en Italie, on aime les émissions avec des jolies filles. Après, c'est juste de se demander où est-ce qu'on se sent bien. Moi je ne me sentirais pas tout à fait à l'aise dans ces émissions-là.

 

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