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Messages recommandés

  • 1 mois après...

Vu comme tu le vends... :mdr:

 

Sans le voir en lead j'aime bien ce morceau - avec une certaine honte mais passons. Les paroles sont assez trash sans être vulgaires. La seule chose qui pose problème, comme à peu près tout le reste de l'album, c'est que la mélodie des couplets prend plus de place que celle (insipide) des refrains.

 

Y avait pas un topic sur sa discographie ? Je n'ai pas trouvé non plus.

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La chanson qui me met indubitablement en transe, Mon Maquis. Franchement, je pense que ce jour-là, Boutonnat a communié avec les saints. La musique est tellement parfaite à mes yeux. Je rêve de dégoter l'instrumental (y'en a un sur Youtube, mais c'est assez moyen).

 

Sinon, quand je suis passablement éméchée, j'aime me passer Da da da en boucle. :ph34r:

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Avec "Je te dis tout", "Quand", "Tu ne le dis pas", "A-t-on jamais" ...

 

"Tu ne le dis pas" avec ces vieux synthés tout pourraves, sérieusement ? :huh:

 

Quand aux autres, mis à part "Je te dis tout" je ne leur trouve rien de vraiment d'extraordinaire ou du moins originale.

 

Pour en revenir à Alizée, "Mon Maquis" est effectivement vraiment bonne. J'aime énormément aussi le travail effectué sur "Tempête" ( sorry GBG ).

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  • 3 mois après...
  • 11 mois après...

Je remonte le topic de GBG :throb:

 

Y a pas longtemps le maître de ces lieux a vu rouge quand j'ai souligné un article du site de Jodel qui faisait le lien entre " Giorgino " et le film présenté ici :

 

http://jodel.saint.marc.free.fr/king_stakh.htm

 

GBG a vu rouge car sur le coup, je parle de mon cas, j'avais pris au pied de la lettre l'article de Jodel et j'avais trouvé beaucoup de similitudes entre les deux films. Et une date symbolique : 1979. L'année de sortie de ce film russe et l'année où ( hasard ? ) Laurent commence à avoir l'idée de Giorgino.

De là est partie un débat sur le plagiat-l'inspiration-l'appropriation intellectuelle et culturelle des oeuvres.

J'aurais du intervenir plus tôt pour dire mon ressenti, avec du recul.

Peu importe si Boutonnat a tiré pas mal de sa matière de ce film ou non , je continuerais d'apprécier Giorgino pour ses qualités et ses défauts. Parce qu'il reste totalement un ovni dans le paysage cinématographique français.

Mais force est de reconnaître que le personnage principal du film de 1979 a la même " substance " que celui de 1994.

Le mot " imposteur " pour qualifier Boutonnat est inapproprié.

Dans ses films on oublie de citer celui de la tournée de 89, qui est une réussite.

Ce court pavé pour répondre à ce dont il était question sur le topic discographie et à GBG ( keur sur ti ). :throb:

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