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Lana Del Rey • Discographie [MAJ]


Half Lady

Lana Del Rey • Discographie  

88 membres ont voté

  1. 1. Album préféré

    • LDR A.K.A. Lizzy Grant (2010)
      0
    • Born To Die (2012)
    • Paradise (2012)
    • Ultraviolence (2014)
    • Honeymoon (2015)
    • Lust For Life (2017)
    • Norman Fucking Rockwell! (2019)
    • Chemtrails Over The Country Club (2021)


Messages recommandés

  • 5 mois après...
  • 1 mois après...
Il y a 2 heures, Haunted a dit :

 

C'est surtout la reverb qui fait mal aux oreilles alors que j'adore l'album dans son ensemble. Il n'y a pas un album de Lana que je n'aime pas de toute façon, même si j'écoute très rarement Born To Die.

 

J'ai du mal avec une partie d'HM que je trouve poussif à certains moments, les tempos étirés en longueur notamment, et l'atmosphère jazzy insuffisamment approfondie. Mais j'avoue que ce qui est très gênant sur cet album, c'est cet surutulisation de la reverb (notamment sur MTWBT). 

En revanche Honeymoon et Terrence Loves You sont décidément deux de ses plus belles réussites. 

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Bon j'ai écouté les 2 premières entrées de Lana pour son prochain album, Mariners Apartment Complex et Venice Bitch, et je suis encore très emballée, surtout VB, qui commence comme un titre folk dépouillé lambda, et se développe sur près de 10 minutes avec une instru merveilleuse (ces guitares, ce synthé, rhââââ).

Je suis très impressionnée par la productivité de cette fille : ça fera bientôt 5 albums officiels en 10 ans (sans compter Lizzie Grant ça fait 6), 1 EP, des dizaines d'inédits (dont certains sont de très bon  niveau), des collaborations à droite à gauche, des participations à des BO, bref tout en maintenant un excellent niveau général.

Je ne la remercierai jamais assez de se concentrer sur la musique là où tant de vedettes s'éparpillent en business, en femme-sandwich, en pseudo carrière d'actrice, en pseudo-influenceuse sur les réseaux, etc.

 

Quand elle est apparue, elle a essayé de se conformer dans le moule popute (contrats mode, la mariole sur insta), mais rétrospectivement c'était vraiment à contre coeur, car on sentait tellement sa gaucherie, alors qu'elle ne cessait de dire dans les interviews que c'était l'écriture de chansons qui la passionnait. Les critiques l'avaient annoncée comme une chanteuse de la génération youtube/millenials, mais en fait internet lui sert surtout à diffuser sa musique, pas à jouer les kardashiantes. Après s'être fait connaître, elle fait vraiment ce qui lui plait (Ultraviolence, Venice Bitch à 10 min), en ça je la trouve plus libre que les poputes à trouze millions de followers.

 

Bref pour le prochain LP, je serai au RdV comme d'habitude.

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  • 1 mois après...

220px-Lana_Del_Ray_-_Lana_Del_Ray_(2010)

 

 

Vous vous rappelez de ce truc?

Riez si vous voulez, mais je vous assure que si vous n'êtes pas des abonnés réguliers, cet album vaut ABSOLUMENT une réécoute de votre part. Alors oui:

La couverture est immonde, c'est pas super bien mixé, on voit que les moyens derrière sont pas infinis, c'est étrange par moments, maladroit, l'album a ce petit côté "fait avec les pieds", mais malgré tout ça, y'a de la magie dans ces chansons, je vous jure. 

Et notamment, les plus profondes racines du son et de la plume Lana Del Rey. Tout est déjà là, y compris sa voix, qui sera honteusement retouchée et lissée sur BTD. Ici rien de cela, mais plutôt des petites ballades sans prétention, avec une voix éblouissante de pureté et de délicatesse. 

 

Et puis il y a aussi des ovnis franchement particuliers, assez inclassables dans son catalogue, à l'écoute desquels on est tenté de faire la moue. Mais même ceux-là, avec persévérance, portent leurs fruits et s'avèrent addictifs.

 

 

Et puis, après toutes ces jolies choses, retentit Yayo. Celle qu'on connaît tous. Et qui vous fera sûrement succomber. 

 

Un opus tout en douceur et en légèreté, d'une chanteuse aux antipodes de celle qui chantera, cinq ans plus tard, I shared my body and my mind with you, sur fond de rock fumant qui ferait bander le plus hardcore des Hells Angels.

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  • 1 mois après...

 

 

Putain mais juste :crybaby::crybaby::crybaby: Le travail instrumental était dingue sur cet album.

 

 

Rappel: la tracklist parfaite d'UV:

 


1. Cruel World

2. Ultraviolence

3. Shades Of Cool

4. Brooklyn Baby

5. West Coast

6. Sad Girl

7. Pretty When You Cry

8. Money Power Glory

9. Old Money

10. The Other Woman

11. Black Beauty

12. Flipside

 

Bonus:

FMWUTTT/Florida Kilos/Is This Happiness
 

 

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Le 14/12/2018 à 19:59, MarAzul a dit :

 

 

 

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Rappel: la tracklist parfaite d'UV:

 


1. Cruel World

2. Ultraviolence

3. Shades Of Cool

4. Brooklyn Baby

5. West Coast

6. Sad Girl

7. Pretty When You Cry

8. Money Power Glory

9. Old Money

10. The Other Woman

11. Black Beauty

12. Flipside

 

Bonus:

FMWUTTT/Florida Kilos/Is This Happiness
 

 

 

 

 

Cet album est une BO de film.
Je le trouve magique. ?

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  • 8 mois après...

Avec l'arrivée de Norman Fucking Rockwell, je l'ai pas mal réécoutée pendant ce dernier mois. Et j'ai réessayé Born To Die, parce que oui, avec moi cet album a du mal, et j'ai écouté pour la première fois Paradise, dont mon envie n'était pas à son comble. Tout cela ne fut pas très fructueux. Je ne suis définitivement pas très fan des sur-productions de BTD, qui au bout d'un moment chez moi commencent à toutes se ressembler. Je suis capable d'aller jusqu'à Dark Paradise, voir Radio, et derrière de zapper jusqu'à Summertime Sadness, puis hop, j'éteins. Je m'ennuie beaucoup sur la fin de l'album, j'ai vraiment l'impression d'entendre le MÊME rythme/beat sur chaque titre. Seule la première moitié de Born To Die me fait donc mousser (non parce que quand même Blue Jeans, Off Of To The Races et National Anthem :throb:). Pour Paradise, c'est un titre sur deux. Donc à peu près la même chose. J'adore Blue Velvet et Yayo, très soundtrack de vieux film (la deuxième se rapproche le plus de la suite de sa disco d'ailleurs). Bel Air, Cola et Ride ont bien marché sur moi aussi.

 

Et donc quand je vois beaucoup de gens vouloir qu'elle revienne vers un son comme ça, et qu'elle fait l'inverse, je suis content. Parce que je n'ai pas l'impression de passer à côté de ce qu'elle est vraiment du coup, comme j'adule les 2 albums suivants, et aujourd'hui apprécie beaucoup celui d'après encore. Mon top ne change donc pas.

 

1. Honeymoon

2. Ultraviolence

3. Lust For Life

4. Born To Die & sa réédition (parce que je ne vois pas Paradise d'une autre manière)

 

Lust For Life est remonté dans mon estime depuis sa sortie. J'adore la partie plus organique de l'album (BPBP, Get Free, GBA-AATBWII, Heroin, Love, Tomorrow Never Came, WTWWAWWKD, Best American Record). J'écoute ces titres très souvent. La partie plus électronique/sombre/trap m'est encore assez floue. J'écoute surtout Summer Bummer, Cherry et 13 Beaches. Les autres titres ne se sont pas encore révélés à moi. Mon idée de séparer l'album en 2 m'a beaucoup aidé à l'apprécier. Il a clairement 2 identités.

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Je me suis refait toute sa disco en attendant le nouveau venu. C’est dingue qu’en si peu de temps elle puisse déjà se targuer d’avoir une telle disco.

Et honnêtement je pense que c’est l’une des rares artistes dont je ne jette aucun album. J’ai mes préférences mais elles varient selon les jours - même si Ultraviolence reste son zénith selon moi.

 

Born to Die est peut-être celui que j’ai le moins écouté en-dehors des singles. A l’époque j’avais été un peu soulé par le phénomène Lana Del Rey, et l’excellence des extraits rendaient l’album un peu décevant. Born to Die reste pour moi sa chanson signature, indéniablement, j’ai toujours la chaire de poule en me la passant. Blue Jeans, National Anthem, Summertime Sadness, Radio et Carmen sont également des titres que j’aime beaucoup réécouter.

Je suis content qu’on ait eu cet album finalement, puisqu’aujourd’hui il a vraiment une place à part dans sa disco. Même si ses successeurs le font parfois revivre à travers un ou deux sons nostalgiques, il a une ambiance propre et contient vraiment certaines de ses plus belles réussites. 

 

Paradise est une suite logique de BTD. Les instrumentales grandiloquentes sont toujours présentes, mais le tempo ralentit, l’ensemble se détachant un peu plus des codes pop que suivaient (parfois) son prédécesseur. Ride, Gods & Monsters, Blue Velvet et Burning Desire passent toujours régulièrement chez moi. Ce n’est peut être pas son opus le plus intéressant, mais il fait un bon complément de BTD. 

 

Ultraviolence est certainement son album le plus homogène avec Honeymoon. Ce retour était à mon sens le plus audacieux qu’elle pouvait faire. Je me souviens que beaucoup l’imaginait répéter éternellement le même album, et je trouve que c’est la meilleure réponse qu’elle ait pu offrir. J’aime toutes les chansons composant cet album, jusqu’au fin fond de ses bonus (hello Flipside et Is This Happiness). La moiteur californienne s’en dégageant est unique, ce rock 70s enivrant. West Coast est peut être un de ses titres les plus singuliers et réussis. 

 

S’agissant d’Honeymoon, c’est plus délicat. J’adore la couleur de l’album, ce ton pastel, ses airs jazzy (Honeymoon, Terrence Loves You gosh), mais je suis parfois lassé par la lenteur de l’ensemble. L’album manque un peu de rythme à mon goût et en même temps je trouve qu’il y flotte un vrai goût de voyage. Mon avis reste donc assez ambivalent sur celui-là, mais il a tout de même ses moments de gloire. J’adore Art Deco, les deux titres suscités, HBTB et TBD. 

 

Lust For Life est une sorte de quintessence du son Del Rey. C’est comme un regard sur tout ce qu’elle a pu faire auparavant retranscrit et remis à jour sur la première partie de l’opus. S’il parait plus générique, je trouve que son hétérogénéité est sa force, il est plus facile d’accès et moins étouffant que ses deux prédécesseurs. Sa seule faiblesse réside pour moi dans les instrumentales, parfois moins subtiles qu’à l’accoutumé. La deuxième partie est un bon lien avec ce qui nous attend : un son plus dépouillé, presqu’acoustique ; pas tellement surprenant que l’on retrouve un outtake de cet album sur NFR. God Bless America et When the World Was at War ont quelque chose de presque désuet mais à la fois envoutant. J’aime beaucoup réécouter, entre autres, White Mustang, Cherry, 13 Beaches ou encore Summer Bummer.

 

NFR ne devrait pas tarder à se faire entendre, et je dois dire que je suis déjà sûr de l’aimer au moins autant que les autres. Mariners Apartment Complex rejoint les highlights de sa discographie, tandis que Venice Bitch me comble par son ambiance psychédélique. 

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  • 5 mois après...
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