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Queen Bee : The Discography


ShangaÏ

Queen Bee : The Discography  

177 membres ont voté

  1. 1. Meilleur Album

  2. 2. Meilleur Lead

  3. 3. Chanson la plus culte



Messages recommandés

J'aimerai tellement qu'elle nous sorte d'autres sons r&b-rock à la Don't Hurt Yourself, ça me laisse sur ma faim qu'elle explore pleins de facettes sur Lemonade sans les approfondir: l'album est excellent mais ça me donne envie qu'elle nous sorte un album respectif pour chaque style exploré sur l'album :mdr:

Je viens de découvrir l'existence de Speak My Mind :ninja: Ça vaut le coup, y'a des bonnes choses dedans? C'est aussi bon que Dangerously In Love?

 

Je m'adresse ici à ceux qui ont vu la lumière, et qui ainsi considèrent DIL comme un de ses meilleurs albums.

 

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  • 3 semaines après...

Beyoncé je l'ai saigné depuis les DC. J'étais à fond sur elle, j'étais même amoureux d'elle on peut dire.

 

DIL son 1er album solo que j'écoute jusqu'à présent, cet album est une bombe.

 

Je déteste BDAY que je n'écoute plus depuis 2008.

 

Je déteste aussi I Am Sasha que je n'écoute plus depuis 2011, seul SL et Halo tournent encore chez moi.

 

Ensuite avec l'arrivée de 4 elle m'a reconquis, cet album est pour moi l'un des meilleurs de 2011 mais dommage la promo a été Bordélique.

 

Décembre 2013 elle nous offre l'album ratchet par Excellence et dedans il y a PARTITION aka la chanson de la vie, l'hymne sexuel, le classique urbain. Seul Pretty Hurts a mal vieilli dans cet album que j'ai toujours le plaisir d'écouter encore.

 

Lemonade je dois faire partie des rares personnes qui trouve BEYONCÉ meilleur, Lemonade est un très bon album, mérite son succès mais je trouve les critiques un peu exagéré ( c'est une pensée personnel ). Le concept est bien mais pas plus. Par contre l'album renferme des pépites comme PYCM, HU, DHYS, SORRY, FREEDOM, DADDY LESSONS et FORMATION.

 

Je la critique souvent sur CIF mais cela n'enlève en rien mon amour pour elle. Elle est #2 dans mon coeur dans cette génération.

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  • 2 mois après...
  • 2 semaines après...

Je suis d'accord avec Kanye, elle a gardé ce joli timbre meme si plus grave. En revanche , elle est parfois, légèrement, dans la demonstration vocale. Elle grogne, c'est le seul truc que je peux reprocher à Beyoncé vocalement. Par exemple, Rocket, No Angel sont beaucoup plus agréable vocalement que I care , Start Over ou 1+1 (qui côtoient les sublimes I miss you et Dance for You). Il y a aussi le passage affreux de Sendcastles à 1:40, alors qu'elle excelle dans Pray You Catch Me.

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  • 7 mois après...

Voilà une artiste bien difficile à juger. J'ai comme tout le monde grandi avec Beyoncé et je dois admettre que mon opinion à son sujet change tous les jours. D'abord, obligé de saluer le monstre scénique et le travail. Ensuite, et ce sera le principal objet de cette critique, je suis obligé de confondre Beyoncé, sa musique, et l'énorme machine commerciale qui l'accompagne.

 

Sa carrière en groupe puis solo suivent le même format, des albums de plus en plus pop, puis retour au RnB quand besoin en est. Lemonade m'a fait prendre conscience de ce qui me dérangera toujours avec elle : Beyoncé est une publicité vivante et s'exprime pour cibler, non pas par convictions. En témoigne, premièrement, l'armée de songwriters/producteurs pour le moindre son, ce qui bizarrement ne l'empêche pas de se prendre un procès pour plagiat tous les 6 mois. Oui ses derniers opus ne peuvent être qualifiés de mauvais, ils sont conçus comme des blockbusters et répondent à un public. Elle est, pour ainsi dire, la plus Pop des artistes RnB.

 

Parmi ces thèmes abordés, on a touché le fond avec « Becky », qui lui permet d'avoir de la publicité gratuite dans tous les médias people. Pire, selon moi, son rapport au féminisme, devenu récemment « afro-feminisme » dans un album qui pourtant contient ni plus ni moins tous les codes d'un album de Beyoncé : de l'amour, des ruptures, et Jay-Z (et une bonne dose de capitalisme au passage). Mais voilà le tout enrobé d'une « grande cause » pour que ça passe mieux. De même qu'on m'expliquera en quoi Flawless est une chanson féministe (dis leur, je suis trop bonne ce soir ?).

 

Au niveau de sa carrière solo, on passe donc graduellement du RnB à la Pop, à une époque où le RnB se mourrait. Sasha Fierce n'est pas un album, c'est une bouée de sauvetage pour garder le succès en y incluant absolument tous les genres périssables du moment, sélectionnés je crois parmi une centaine de chansons. On les entendrait presque dans la salle de réunion viser telle chanson pour la radio blanche et telle autre pour la radio noire. Le tout avec un « concept » pour faire oublier qu'il n'y a pas 3 chansons cohérentes à la suite. C'est bien à cette époque pour moi que sa carrière à changé de route.

 

4 est pour moi sa dernière tentative avant longtemps d'aborder ses « roots », surtout sa dernière occasion. Le chemin de carrière qu'elle prend ne permet pas ce genre d'albums, on peut même supposer qu'elle ne désire plus faire ce genre de musique et c'est dommage. Je pense qu'elle le savait à l'époque : après tout, l'album concept, qui ne s'achète que comme un tout et totalement clippé, c'était déjà Jay-Z En 2008. BEYONCÉ sera pour moi un one-shot, l'enfermant dans son statut d'auto-proclamée légende et la forçant à aller dans la surenchère, musicale, thématique, et visuelle.

 

Conclusion : Le capitalisme mis en chanson et vendu avec des visuels toujours plus tirés par les cheveux. De nombreuses choses à sauver mais l'impression qu'on se fout de nous à longueur d'albums n'est jamais très loin. Une bonne chanteuse RnB oui, lorsqu'elle veut bien s'en donner la peine. Une légende non. Une artiste engagée encore moins.

 

 

 

_____

 

Critique Albums :

 

Dangerously In Love : Un album typique des Destiny's Child, une mauvaise langue dirait que c'en est le meilleur. Dépouillé de ses singles, il est une belle photographie de l'époque. Quiconque aime le RnB appréciera jusque ses fillers. On peut trouver l'écriture timide et les samples un poil faciles et calibrés. Ça doit être mon préféré. Speechless, Thats How You Like It, Be With You.

 

B'Day : cacophonie, j'ai pas d'autres mots. Énorme problème avec l'enregistrement de cet album qui a pourtant de bonnes instrus, bourrées de cuivre, mais surtout déjà bien dynamiques pour être chanté si agressivement. Je ne passe pas la barre des deux chansons. Éventuellement dans une playlist mais en tant qu'album, à couper avec de l'eau. Kitty Kat.

 

I Am Sasha Fierce : le concept même m'échappe. A vrai dire, l'industrie musicale de cette période m'échappe. Tout le monde est tombé à ras d'inspiration et s'est mis à faire de la merde. D'autant plus dommage que le 3eme album est souvent celui de la confirmation. Quiconque me soutiendra qu'elle n'a pas acheté ses grammy cette année là passera à mes yeux pour un fou.

 

4 : arrête de crier. Cela étant dit, clairement son travail le plus intéressant mais incapable de le prendre totalement au sérieux. Aux influences black, on a collé, comme ça, de grosses ballades Pop que même Whitney n'aurait pas osé gueuler. On a choisi de faire un lead qui dénature tout autant l'album sur un sample que tout le monde avait déjà utilisé. Et puis on a mis les meilleures chansons à part (au lieu d'y mettre ses cris) dans le seul but de donner une exclu à Walmart. Enlevez donc Best Thing, I Care, Start Over, I Was Here (la moitié quoi), et vous avez sûrement le meilleur album de Beyoncé. Dans l'état, non.

 

BEYONCÉ : SARFBORT ! Cet album est une déflagration, un cours de marketing. Musicalement, visuellement, commercialement. Définitivement son album le plus abouti, et ce calibrage millimétré n'arrive même pas à le rendre mauvais. Drunk In Love, Mine, Superpower

 

Lemonade : un grand raté qui à mon humble avis vieillira bien vite. Mes yeux et mes oreilles d'Européen y jouent un peu. Je ne suis pas partisan de ces délires communautaires et, s'il venait l'envie à un artiste d'aborder le sujet (comme Nina Simone l'a si bien fait), la dernière que j'attendrai sur ce terrain là c'est Beyoncé. C'est le moment où pour ma part son opportunisme légendaire a fait le pas de trop. Musicalement, c'est un patchwork assez maladroit qui semble vouloir suivre les traces du précédent sans y parvenir. J'ai aussi un gros problème avec l'écriture qui semble se concentrer sur la création de punchlines dans l'unique but de les vendre ensuite sous la forme de t-shirt. Freedom.

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Le personnage de sasha était que le prétexte pour dire qu'on avait un concept (méthode Matthew à mon avis). Vu la faible concurrence surtout en rnb, c'est pas étonnant qu'avec son marketing elle a fait un succès monstre aux grammys.

 

4 en revanche était très frais pour l'année de l'électro en 2011. Mais je vois l'ordre des singes de cette façon :

 

Love on top : Lourd potentiel de lead pour rassembler les fans de rnb, les fans des jackson 5, et en même temps pour divertir un nouveau public. C'était l'arme ultime contre les titres électros du moment.

 

End Of Time : Deuxième single puissant à la single ladies avec un clip de fou pour confirmer le succès du disque.

 

1+1 ou Miss U : Une bonne ballade pour rassurer la fan base

 

Countdown : Hop, on ose un truc plus rétro même si ça flop

 

I was Here : Ballade plus lisse pour le public pop et pour clôturer l'ère.

 

Elle avait aussi schoolin life ou dance for u sous la main, c'est incroyable d'avoir l'idée de sortir run the world et best things i never had. :P

 

Pour I am, c'est encore un album qui a la côte chez le public pop, il était lisse mais efficace (un true blue bis).

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Sachant l'admiration que Beyoncé porte pour MJ, j'ai toujours vu I am Sasha Fierce comme sa tentative de "pull a Thriller". Dans le sens marquer les esprits avec des chansons un peu "universelles" et un mélange de style. Et bien sur toucher l'univers du clip avec Single Ladies. Alors evidemment il y aucune comparaison à faire entre les deux. Pour moi, c'est raté, mais elle a quand marqué avec cette ère et a fait péter le compteur à Grammy's.

 

D'un côté cette ère a du lui faire prendre conscience qu'elle ne devait pas se vendre et que la pop générique ne lui permettrai pas d'impacter l'industrie durablement.

 

4 est vraiment un bel album. Elle a abusé niveau au niveau vocal mais il est quand même génial dans son style. Love On Tope est une petite pépite (il faut dire qu'elle a de bonne inspirations...).

 

BEYONCÉ au delà du marketing est bon aussi, même si un peu trop bling bling parfois. Elle s'est fait plaisir. On y retrouve beaucoup d'influences et enfin des vocals maitrisées. C'est du beau travail et ca reflète bien l'artiste.

 

Lemonade est pour moi son album le plus homogène et abouti. C'est celui que j'écoute le plus facilement. All Night est quand même sacrément bonne.

 

Bref, une belle deuxième partie de carrière solo. Elle se livre de plus en plus et se fait plaisir. J'avoue que mon avis sur elle change beaucoup mais elle arrive de plus en plus à me convaincre avec ses travaux. Maintenant, j'attends peut-être un album plus expérimental avec des sonorités africaines, des adlibs, du jam.

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De la manière dont je le vois, m'étant récemment fait une piqure de rappel, Sasha Fierce est vraiment bâti pour ne pas se prendre un mur dans les Charts. On voit d'ailleurs avec 4 qu'elle avait moins de prétention à ce niveau.

 

2009, vous avez raison de le dire, pas énormément de concurrence en RnB mais principalement parce que les rats quittaient le navire. On peut citer des albums RnB moyens ou mauvais en masse de cette période, de la part de pointures du genre. Et puis The E.N.D. et Nicki Minaj sont venus achever le cadavre pour quelques années, et dans le contexte, oui, 4 était le bienvenue.

 

Je vois vraiment l'album comme un moyen de survivre sans tourner full pop. Les singles sont littéralement sortis par deux (un pop / un "urbain") et couvrent tous les genres qui pourraient faire leur chemin, même petit, ken radio.

 

Le personnage de Sasha s'inscrit dans cette même mode qui poussait les Popstar à se teindre les cheveux dans des couleurs improbables et à s'habiller bizarrement. Une sorte d'effet Lady Gaga. C'mon, Sasha était semi robotique, de vieux souvenir robot de l'espace (?!?!!!) selon la tournée et a donné des looks improbables tels les cheveux spaghettis de Sweet Dreams.

 

Les feat avec Gaga sont presque une sorte d'aveu qu'elle avait peur de se ringardiser, clairement, Gaga n'avait rien à faire sur Video Phone. J'observe le même genre de phénomène chez les groupes comme Mandrill qui étaient flamboyants dans les 70s et qui ont crevé dans les 80s en voulant suivre la mode Disco, eux qui experimentaient auparavant.

 

Enfin, truc « marrant ». Single Ladies = Dance-Pop. Diva = hip-hop (Lil Wayne). Sweet Dreams = electropop. Ego = RnB. Video Phone = Crunk. Cet album n'a juste aucun sens. C'est un pot pourri désespéré et une réserve à singles. Je pense pas qu'on puisse y trouver une quelconque démarche.

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