Cortana Posté(e) 20 janvier 2014 Share Posté(e) 20 janvier 2014 Assez insignifiant. Lien vers le commentaire
de Fleurs Posté(e) 20 janvier 2014 Share Posté(e) 20 janvier 2014 Je vais peut-être être encore le seul qui kiffe ce groupe mais cet extrait laisse présager que de bonnes choses pour l'album. 1 Lien vers le commentaire
Saint James Posté(e) 23 janvier 2014 Share Posté(e) 23 janvier 2014 La version radio de Love Letters est enfin disponible: 6 Lien vers le commentaire
Pablo Posté(e) 24 janvier 2014 Auteur Share Posté(e) 24 janvier 2014 On a les dates de la tournée aussi : 01-29 Brighton, England - The Old Market02-05 Brooklyn, NY - Music Hall of Williamsburg03-12 Ireland, Dublin - Olympia Theatre03-13 Liverpool, England - Liverpool Academy03-14 Manchester, England - Manchester Ritz03-17 Nottingham, England - Nottingham Rock City03-18 Leeds, England - Leeds Academy03-19 Glasgow, England - Glasgow ABC03-20 Newcastle, England - Newcastle Academy03-21 Birmingham, England - Birmingham HMV Institute03-23 Portsmouth, England - Portsmouth Pyramids Centre03-24 Bristol, England - Bristol Academy03-25 Oxford, England - Oxford Academy03-26 Norwich, England - Norwich UEA03-28 London, England - London Brixton Academy03-31 Luxembourg, Luxembourg - Rockhal04-01 Amsterdam, Holland - Melkweg Old Room04-02 Brussels, Belgium - AB Club04-04 Frankfurt, Germany - Batschkapp04-05 Munich, Germany - Muffathalle04-06 Berlin, Germany - Astra Kulturhaus04-07 Hamburg, Germany - Grosse Freiheit04-09 Copenhagen, Denmark - Loppen04-10 Stockholm, Sweden - Strand04-11 Oslo, Norway - Rockerfeller04-14 Zurich, Switzerland - Kaufleuten04-15 Lausanne, Switzerland - Lausanne D Club04-16 Milan, Italy - Magazzini Generali04-18 Vienna, Austria - WUK04-25 Toulouse, France - Zenith04-26 Nantes, France - Zenith04-28 Paris, France - Zenith04-29 Lille, France - Aeronef04-30 Lyon, France - Radiant06-07 London, England - Field DaySource. Lien vers le commentaire
Cortana Posté(e) 24 janvier 2014 Share Posté(e) 24 janvier 2014 Mouai c'est toujours pas avec ça qu'ils vont me convaincre... Plus qu'à attendre l'album maintenant. Lien vers le commentaire
Charliiiie Posté(e) 24 janvier 2014 Share Posté(e) 24 janvier 2014 J'aime pas du tout... Lien vers le commentaire
de Fleurs Posté(e) 24 janvier 2014 Share Posté(e) 24 janvier 2014 Cet album s'annonce avec une nouvelle couleur que je trouve pour ma part assez séduisante. J'aime pas mal l'ambiance qui s'en dégage et je ne suis pas surpris du tout qu'ils collaborent avec Gondry pour la vidéo. Après, malgré les "hits" que sont The Bay, The Look & Corinne, je trouve que Metronomy est un groupe qui s'apprécie en écoutant les albums. J'ai hâte pour l'album et je me tâte sévère pour le Zénith de Paris. 1 Lien vers le commentaire
new pseudo 4ever Posté(e) 24 janvier 2014 Share Posté(e) 24 janvier 2014 Waw ! C'est cool ! j'avais adoré leur dernier album et j'aime beaucoup "I'm Aquarius" J'ai hâte d'entendre le prochain album ! Lien vers le commentaire
new pseudo 4ever Posté(e) 31 janvier 2014 Share Posté(e) 31 janvier 2014 Album commenté titre par titre sur Les Inrocks The Upsetter: On reconnait la petite boite à rythmes étriquée de I’m Aquarius, mais elle se noie vite dans le flux d’une pop-song romantique et cossue, aux guitares multiples et au chant plaintif. Une certaine vision de la Californie, vue à travers le prisme lo-fi et brumeux d’une pop très anglaise, magnifique et patraque. Gloire soit rendue aux Italiens de chez Eko, qui inventèrent dans les seventies cette boîte à rythmes merveilleuse, la ComputeRhythm, qui installe dès l’intro ce conflit permanent de ce nouvel album entre hi-fi et lo-fi, les aspirations flamboyantes de Joseph Mount et les dogmes qu’il s’est cette fois imposés – comme de tout enregistrer aux studios Toe Rag, réputés pour leur technologie primitive. I’m Aquarius: La boîte à rythme (au singulier, tant elle est minimale) est celle qu’utilisa OMD sur Enola Gay. Mais très vite, cette première chanson dévoilée sur le net stupéfait par son ampleur, sa complexité, pourtant construite sur des fondations aussi fragiles. Le chant de Joseph est funky, suave, d’une élégance constante, portée comme un gourou en toges par des chœurs de vierges exaltées. Toute ressemblance avec des comédies musicales hippies – Hair en tête – n’est pas un hasard. Monstrous: Encore, en fil rouge, en dogme, en pari insensé, cette boîte à rythmes de peu de mots, cette fois au service d’une pop-song au clavecin baroque et au chant d’une liberté inouïe pour cette voix peu habituée à de tels exploits. Joseph Mount reconnaît qu’en plus du plaisir d’écrire, il vient de découvrir celui de chanter – et ça s’entend sur ce nouvel album, où le chant se fait plus relâché, plus suave, plus libre. Même sur ce texte assez sombre, sur l’inadaptation, ce sentiment très Holden Caulfield d’être sur la touche du monde. Love Letters: Arrangements audacieux (hautbois, cor…) pour cette mélopée de générique arrache-larmes, qui explose vite en hymne farfelu et funky, redéfinissant en beauté les canons de l’hystérie Motown ou même Northern Soum, pour un swinging London 3.0 qui donne envie de faire des danses absurdes et libres. Les voix sont ici traitées comme des reines, sur une mélodie aux accords gonflés, étranges. Encore une chanson qui donne envie de porter une toge et d’écouter les premiers Roxy Music enchaînés avec l’intégrale de Martha & The Vandellas. Utilisation merveilleuse et gaiement bordélique des cuivres. Un trésor. Month Of Sundays: “Everyday is like Sunday” chantait Morrissey : Metronomy lui répond avec un mois entier de dimanches. Journée du farniente à éplucher une discothèque vinyle où brille la sunshine pop la plus baroque. Joseph y chante merveilleusement cette pop sixties, à la Left Banke, en dandy, aussi fiévreux que désabusé. Là encore, les chœurs sont d’une puissance et d’une inventivité réjouissantes. Les paroles, elles, règlent des comptes avec une ex – un tic déjà pris sur The Look à l’époque de The English Riviera : la chanson comme règlement de comptes. Boy Racers: Morceau le plus ouvertement “Metronomy” avec son mélange de rythmiques robotiques et de romantisme funky. Sautillant et pourtant grave, il évoque les Talking Heads quand ils cherchaient à être à la fois Fela et Joy Division. Mais Metronomy a décidé que ce tube possible, peut-être trop cheesy pour eux, serait… instrumental. Attendez-vous à en manger sur une publicité de voiture et sur tous les ralentis de F1 sur C+. On ne s’appelle pas Boy racers pour rien ! Pour info : Joseph Mount, sous ses airs placides, serait un chauffeur très pressé, véloce et sportif. Call Me: Un étrange genre de folk-song futuriste, qui démarre au coin d’un clavier vintage pour trouver un drôle de rythme épileptique, de croisière : comme si la boite à rythmes frénétique et la mélodie lente et solenelle vivaient dans des univers parallèles mais se rencontraient finalement en fin de parcours après de mystérieuses distorsions. Encore un morceau, complexe et pourtant léger, qui semble plus typiquement Metronomy. Soit tubesque et tordu. The Most Immaculate Haircut: Retour de la diabolique boîte à rythmes lents, cette fois-ci réglée en mode Soft Cell sur cette chanson principalement acoustique, aux guitares carillonnantes et à la simplicité balayée par un refrain à tue-tête, haut en couleurs – avant un long solo de grillons et de bruits aquatiques qui constituent sans doute le pont le plus étrange de la pop depuis le récital de sonnettes de vélos chez les Beach Boys. Et la chanson redémarre, comme si de rien n’était, ce qui la rend encore plus étrange et précieuse. Elle était à l’origine destinée à un duo avec Connan Mockasin, ce qui explique peut-être son psychédélisme enfantin. Reservoir: Du Metronomy pur jus (de truffe, au moins), minimal et radieux même dans un mode mélancolique dont cette voix ne peut s’extraire. La mélodie tient en trois notes et deux doigts : elle est pourtant irrésistible. On rêve d’entendre un jour ce groupe si fin, si précis et si précieux composer pour Morrissey ! Never Wanted: Encore une jolie partition de guitare nostalgique, chaude et songeuse, que joignent une basse pacifique, des bleeeps de robots amoureux, des bruits de vie puis une batterie lourde et une électricité en petites décharges, tous en admiration devant le chant étranglé et poignant de Joseph, qui tient littéralement tout l’album en otage (sauf l’instrumental, s’entend). Un glorieux moment de pop moderne, réformée, mondiale : on y entend des rythmes allemands, des chagrins anglais et des guitares brésilienne. On ne sait pas d’où viennent les criquets. 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Cortana Posté(e) 31 janvier 2014 Share Posté(e) 31 janvier 2014 La boîte à rythme (au singulier, tant elle est minimale) est celle qu’utilisa OMD sur Enola Gay. Mais très vite, cette première chanson dévoilée sur le net stupéfait par son ampleur, sa complexité, pourtant construite sur des fondations aussi fragiles. Le chant de Joseph est funky, suave, d’une élégance constante, portée comme un gourou en toges par des chœurs de vierges exaltées. Toute ressemblance avec des comédies musicales hippies – Hair en tête – n’est pas un hasard. Ha ha merci les Inrocks, j'ai pas lu le reste quand je lis ce genre de bêtise. Les mec sont tellement content d'avoir une exclu qu'ils disent n'importe quoi. Lien vers le commentaire
Charliiiie Posté(e) 9 février 2014 Share Posté(e) 9 février 2014 Before du Grand Journal mardi soir. 2 Lien vers le commentaire
Aerial Posté(e) 10 février 2014 Share Posté(e) 10 février 2014 Bon j'accroche beaucoup plus à Love letters qu'à I'm Aquarius. J'ai hâte pour l'album. Lien vers le commentaire
Saint James Posté(e) 11 février 2014 Share Posté(e) 11 février 2014 D'ailleurs le clip de Love Letters est en ligne. Lien dailymotion en attendant qu'ils débloquent la vidéo pour la France 2 Lien vers le commentaire
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