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L'Encyclopédie Électronique de CIF


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  • 4 mois après...

DUBFIRE

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Dubfire est l'alias solo et Techno d'une moitié des Deep Dish, l'autre étant Sharam (connu par le grand public par "The One").

 

Il s'est mis à la Techno, un premier essai, en 2006, en commençant par une Techno assez Mélodieuse.

 

Il revient ensuite un an plus tard, sort un premier titre Techno assez Electro :

http://www.beatport.com/track/roadkill-original-mix/340234

 

Il vire ensuite à la Minimal Techno bien sombre et rythmique mais lente en sortant cette musique :

http://www.beatport.com/track/ribcage-original-mix/379977

 

Grâce à cette sortie, il se fait repérer par Richie Hawtin et signe cette track assez violente sur son label, Minus :

 

http://www.beatport.com/track/emissions-original-mix/418717

 

Sa carrière décolle, et il confirmera en sortant ce super remix sur Plastikman - Spastik

 

http://www.beatport.com/track/spastik-dubfire-rework/428625

 

Il laisse ensuite son portefeuille se remplir, après la sortie de ce remix :

 

http://www.beatport.com/release/space-bird/87977

 

Il revient 6 mois après, Juillet 2008, associé à Oliver Huntemann, pour sortir "Diablo" :

 

http://www.beatport.com/track/diablo-original-mix/607111

 

Un retour en force pour Dubfire, qui va se confirmer en cette année 2008, avec ce remix :

 

http://www.beatport.com/track/grindhouse-feat-danton-eeprom-dubfire-terror-planet-remix/613304

 

Fin 2008, une nouvelle collaboration avec Huntemann, sort, "Dios", encore un carton !

 

http://www.beatport.com/track/dios-original-mix/718960

 

2009, il profite de sa renommée pour lancer son label SCI+TEC et signe sur des compiles, mixe et sort ce remix dans le style d'UMEK et consort :

 

http://www.beatport.com/release/split-the-line/165900

 

Il revient en avril 2010 avec une nouvelle collab' avec Huntemann, cette fois, beaucoup plus sombre et lente :

 

http://www.beatport.com/release/elements-series-i-fuego/238475

 

Et signe en Juin, Rejekt chez Cocoon :

http://www.beatport.com/track/rejekt-original-mix/1251282

 

Il est moins en vogue à partir de là, malheureusement, la Tech House "groove" et la Techno avec pas mal de Drums éclipsent Dubfire.

 

Il revient mi 2011 avec Terra, toujours en collab' avec Huntemann, de la Tech house assez groovante :

 

http://www.beatport.com/release/elements-series-ii-terra/382281

 

On sent son virage Tech House, en 2012, quand il sort :

 

OCTVS : http://www.beatport.com/release/octvs/921343

Slowburn : http://www.beatport.com/release/slowburn/959002

 

Il sort ensuite un remix assez street et tech house à la fois :

 

http://www.beatport.com/release/plex-dubfire-rework/1009786

 

Mai 2013, il revient avec Oliver Huntemann, et sortent "Aire", une track assez Deep :

 

http://www.beatport.com/release/elements-series-iii-aire/1077721

 

.. Et sort ensuite en septembre, ce remix Deep House.

 

http://www.beatport.com/track/riesling-dubfire-remix/4701519

 

La boucle est bouclée, on dirait, car Deep Dish, c'était de la Deep House !

De plus, des rumeurs disent que le duo Sharam/Dubfire vont refaire surface.

A noter, qu'il y a eu Fuego, Terra et Aire avec O. Huntemann. Un "Acqua" devrait donc sortir !

 

 

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  • 1 an après...

Conférence sur la naissance de la Techno à Lyon

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Après s'être penché sur la décennie 1970 en accueillant le collectif Frigo, sur les années 1980 puis, plus récemment, sur les 90's, le cycle de conférences Histoire(s) de l'Underground à Lyon se clôt sur la naissance de la techno à Lyon et en Rhône-Alpes.
A la fin des années 80, la vague techno envahit la planète. « La dernière grande révolution » de la musique, comme l’appelle Garnier dans Electrochoc, est en marche.
A Lyon, ville de longue tradition alternative et underground, mais aussi ville froide et institutionnelle en diable, une génération d’acteurs va très vite prendre la vague. Contre les autorités, les institutions, parfois contre les médias et l’underground rock lui-même.
Pourtant, avec la détermination de quelques pionniers, vont fleurir les premiers disquaires, les clubs, les flyers, les soirées et raves officielles ou clandestines.
En 1996, le maire de Lyon Raymond Barre autorise la rave Polaris à se tenir jusque minuit. Après la consternation vient la révolte. Lyon devient symboliquement la capitale de la répression anti-techno, voit naître le premier syndicat français des cultures électroniques, et organise la résistance. Le mouvement se structure dans toute la région Rhône-Alpes, d’Annecy à Grenoble.
Les acteurs et les initiatives se multiplient. Mais la route sera longue avant que la capitale des Gaules ne devienne l’une des villes européennes les plus effervescentes sur la scène électronique.

En présence de :
The Hacker
Laurent Garnier (via Skype)
Michel Masurel aka Miloch (Tekmics booking, Eargasm records)
Patrice Mourre
Simon Chambon (CLFT)
Cyrille Bonin (Kubik)
Modération : Vincent Carry

Liens des vidéos projetées pendant la conférence :





 

 

Lien d'écoute :

 

 

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  • 4 semaines après...

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Pour ceux qui ne connaissent pas. Jeune DJ parisien qui a explosé début 2010, il a sorti plusieurs EP avec Hungry Music. Un grand ami de N'TO et Joachim Pastor. Je vous laisse découvrir avec certains titres ci-dessous.

 

Salzburg :

 

 

Good Night My love :

 

 

Bleu :

 

 

Porto :

 

 

Toi :

 

Et un petit extrait en live de Elea :) :

 

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Je trouve ça assez générique. Ça s'écoute hein, mais on fait une overdose de deep house / tech house ces temps-ci donc le gars n'a pas vraiment de quoi se démarquer. C'est vraiment le style "par défaut" du moment, et d'après les morceaux postés plus haut, le gars se cantonne à faire la même recette à chaque fois. Dommage.

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Dominik Eulberg est un DJ, producteur de techno minimale allemand, né en 1978 en Allemagne. Pour ceux qui ne connaissent pas et qui aiment la pure minimale, à découvrir absolument (prendre le temps d'écouter la ou les chanson(s) en entière(s) :

 

:throb:

 

 

 

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Chanson -> Chant -> Chanteur. ;)

 

En gros, "une chanson d'Eulberg", c'est dire qu'Eulberg est le chanteur.

Pour appeler une track une chanson, je dirais que si le nom d'artiste est celui du chanteur, c'est une chanson. Si c'est le nom d'un producteur, c'est une prod'.

 

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Une musique que j'aime beaucoup, et qui fait des vagues dans mes listes d'écoutes en ce moment.

 

C'est l'association de 2 mecs, Jose Maria Ramon, William Medagli et d'une fille, Thallulah, et parmi leurs nombreuses collab', celle ci, je trouve, sort du lot :

 

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