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Un! Deux! Trois! Dis: Miroir Noir!  

15 membres ont voté

  1. 1. Album(s) préféré(s)

    • Arcade Fire (EP) (2003)
      0
    • Funeral (2004)
    • Neon Bible (2007)
    • The Suburbs (2010)
    • Reflektor (2013)
    • Everything Now (2017)
      0
  2. 2. Single(s) préféré(s)

    • Neighborhood #1 (Tunnels)
    • Neighborhood #2 (Laïka)
    • Neighborhood #3 (Power Out)
    • Rebellion (Lies)
    • Wake Up
    • Black Mirror
    • Keep the Car Running
    • Intervention
    • No Cars Go
    • The Suburbs
      0
    • Month of May
      0
    • We Used to Wait
    • Ready to Start
    • City with No Children
    • Sprawl II (Mountains Beyond Mountains)
    • Reflektor
    • Afterlife
    • We Exist
    • Everything Now
      0
    • Creature Comfort
      0


Messages recommandés

ARCADE FIRE

Discographie

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« And you love me till my heart stops

Love me till I'm dead

Eyes that light up, eyes look through you

Cover up the blank spots

Hit me on the head »

(Talking Heads, This Must Be the Place

(Naive Melody))

THE TIDE IS HIGH AND IT’S RISING STILL

 

Formé à Montréal en 2001, Arcade Fire est un combo emmené par Win Butler et Régine Chassagne, couple à la ville. S’illustrant dans un rock indé aux parfums pop et baroque, l’équipe sort rapidement après s’être formé un premier EP, Arcade Fire (2003), avant d’exploser aux yeux du monde l’année suivante avec l’ultra-acclamé, Funeral. Depuis dix ans, le groupe ne cesse de susciter l’enthousiasme, combinant succès critique et commercial. Arcade Fire fait partie des plus grands groupes rock actuels.

Ce topic, Arcade Fire | Discographie, se crée aujourd’hui pour les accompagner (d’un œil critique) dans leur carrière, pour discuter de leur discographie, ainsi que pour conseiller ceux qui voudraient s’y intéresser – car s’il y a bien aujourd’hui un groupe qu’il ne faut pas rater, c’est bien ce combo canadien haut en couleur.

 

 

OCEAN OF NOISE, OCEAN OF VIOLENCE

ARCADE FIRE [EP]

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« The diversity of songwriting displayed here, especially given its brevity, is probably the group’s most promising and striking aspect », Stylus Magazine.

 

Enregistré durant l’été 2002 et sorti l’année suivante, Arcade Fire est le premier EP du groupe. Le combo canadien est encore inconnu du grand public et vend son effort studio sur son site internet et dans les concerts qu’ils donnent au Canada et dans quelques états de la côte nord-est des Etats-Unis. Constitué de sept morceaux – pour la plupart composés par le couple Butler-Chassagne – Arcade Fire jette les bases de ce qui fera leur identité musicale si riche et si particulière. Guitares, piano, tambourin, banjo, clarinette, cor d’harmonie, etc. : les Montréalais conçoivent une architecture musicale sophistiquée à la manière d’autres super-Canadiens : les Torontois de Broken Social Scene (qui, à leurs débuts, accueillaient Feist dans leurs rangs). L’enregistrement d’un EP permet également au groupe de se doter d’une première carte de visite musicale qui va pouvoir leur ouvrir les portes de leur première maison de disque indépendante, Merge.

Ce premier EP éponyme du groupe est accueilli positivement par les critiques, mais celles-ci pointent le plus souvent le caractère encore incertain des compositions. Le groupe ne semble en effet pas encore au point : les idées, les thèmes, l’identité sonore, l’originalité sont déjà bien présents, mais il manque encore aux Canadiens l’étincelle nécessaire pour réellement faire exploser tout ça. « No Cars Go », par exemple, est probablement le morceau le plus intéressant du disque, mais il lui manque encore une réelle puissance – chose que le groupe va gagner durant les sessions de Funeral et qui leur permettra de réenregistrer « No Cars Go » en 2007 et de le délivrer avec toute la maturité sonore souhaitée sur leur deuxième album, Neon Bible (2007). Stylus Magazine, néanmoins, considère Arcade Fire comme l’une des meilleures sorties de 2003.

En 2005, faisant suite au succès de Funeral, Merge a réédité Arcade Fire qui fera alors une très brève et très timide apparition dans les charts anglais et français.

 

Morceaux phares : « No Cars Go », « Headlights Look Like Diamond »

Coup de cœur de Rebecca : « Old Flame »

 

 

FUNERAL

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« For those of us who still believe in music's power to redeem, 'Funeral' feels like detox, the most cathartic album of the year », NME.

 

Avec les sorties de Sonic Youth, Franz Ferdinand, PJ Harvey, Feist, The Cure, Regina Spektor, The Twilight Singers, The Libertines, Björk, Devendra Banhart, Nick Cave and the Bad Seeds, Green Day, De La Soul, Tom Waits, Leonard Cohen, U2, Joanna Newsom, Brian Wilson, Electrelane, Kanye West, TV on the Radio, etc. 2004 aura été particulièrement riche, mais c’est à la fin de l’été que paraît le véritable chef-d’œuvre de l’année : le premier opus d’Arcade Fire : Funeral. Sur ce disque, les petites failles que l’on rencontrait sur le premier EP sont totalement gommées et le son du groupe s’en voit transcendé, atteignant une puissance et une richesse musicale incroyables pour un groupe qui n’en est qu’à ses débuts. Si le titre de l’album, inspiré par les multiples décès que les membres du groupe ont connu dans leurs familles respectives, n’inspire rien de joyeux, Funeral est pourtant un disque lumineux, qui suinte l’amour de l’amour et de la vie. Porté par des singles forts et fédérateurs (« Neighborhood #1 (Tunnels) », « Rebellion (Lies) », « Wake Up », etc.), la première galette du combo va lancer en grande pompe l’arcade-fire-mania dans les milieux indés et branchés. L’année suivante, David Bowie, qui se déclare comme le « biggest fan » des Canadiens, rejoint le groupe pour un concert à New York ; de cette collaboration en live paraîtra un EP.

Funeral recontre un succès critique retentissant et marque au fer rouge la décennie 2000. Classé meilleur album de l’année 2004 par une flopée de magazines et webzines (Pitchfork, Tiny Mix Tapes, Les Inrocks, etc.), on le retrouve également parmi les meilleurs disques des noughties : à la première place pour LAS Magazine, Billboard, Under the Radar ou Les Inrocks, à la 2ème position selon Pitchfork et Consequence of Sound, respectivement à la 3ème et à la 4ème positions pour Paste et Slant, dans le top 10 de Rolling Stone, de NME, de Stylus et du Guardian. On le rencontre enfin parmi les meilleurs disques de tous les temps selon Rolling Stone, Spin, Q Magazine ou Mojo.

 

Morceaux phares : « Rebellion (Lies) », « Wake Up », « Neighborhood #1 (Tunnels) », « Neighborhood #2 (Laïka) », « Neighborhood #3 (Power Out) »

Coup de cœur de Rebecca : « Haiti »

 

NEON BIBLE

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« A magical kingdom of noise that's equal parts Disney's Fantasia and Echo & The Bunnymen's lavish Ocean Rain », Q Magazine.

 

Après avoir été acclamé comme le renouveau du rock, Arcade Fire était bien évidemment très attendu avec leur second opus. Intitulé Neon Bible (2007), ce disque se montre quelque peu plus sombre que le précédent, plus baroque également et plus orchestral – il suffit d’écouter le superbe single « Intervention » pour s’en convaincre (l’une des meilleures chansons des 2000s selon Pitchfork). La majorité du matériel a d’ailleurs été enregistré dans une église au Québec, ce qui n’est pas étranger à la nature cérémoniale de la musique. Les thèmes de la religion, de la superstition, de la société de consommation, ainsi que le motif de l’eau (cf. : « Ocean of Noise », « Black Waves/Bad Vibrations », « The Well and the Lighthouse », « Windowsill » ou même « No Cars Go »), sont récurrent sur l’ensemble de l’album. Avec Neon Bible, Arcade Fire réitère la forte impression laissée par Funeral et confirme que le futur du rock passera aussi (et surtout ?) par eux. En 2010, la chanson « My Body Is a Cage » est mise à l’honneur par le grand Peter Gabriel, qui la reprend sur son album symphonique Scratch My Back, et par la Française Jeanne Cherhal sous le titre de « Mon Corps est une cage ».

Tout comme son prédécesseur, Neon Bible rencontre à sa sortie un très grand succès critique : cité album de l’année par Q Magazine et The A.V. Club, 2ème meilleur disque de 2007 pour Spin et Blender, 3ème pour Entertainment Weekly et Filter, ou encore 4ème pour Rolling Stone et NME, on le retrouve dans de nombreuses year-end lists (AllMusic, Pitchfork, Uncut, The Guardian, Drowned in Sound, PopMatters, Sputnikmusic, etc.) et decade-end lists (Rolling Stone, Paste, Slant, NME, Consequence of Sound, etc.). L’opus se classe aussi très bien dans les charts : #1 au Canada et en Irlande, #2 au Royaume-Uni, aux Etats-Unis et au Portugal, et dans le top 10 australien, belge, norvégien, finlandais ou encore français.

 

Morceaux phares : « Keep the Car Running », « Intervention », « No Cars Go », « Black Mirror »

Coup de cœur de Rebecca : « Windowsill »

 

 

THE SUBURBS

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« The band certainly aims for transcendence on The Suburbs — a work of impressively fervent majesty », Entertainment Weekly.

 

The Suburbs marque le retour en 2010 d’Arcade Fire. Entre-temps, le groupe montréalais est devenu l’une des valeurs sûres du rock indé et ne cesse de susciter l’engouement, aussi bien dans les milieux underground que chez un public plus mainstream. Avec ce nouveau disque, le combo fait évoluer le son du groupe tout en subtilité : le faste baroque est toujours présent, la pléiade d’instruments aussi et les mélodies restent reconnaissables entre mille, mais de nombreux titres se montrent aussi plus directs (« Month of May », « City with No Children », « Wasted Hours »), sans démonstration sonique particulière. Arcade Fire fait aussi sa première réelle incursion dans l’électro avec le flamboyant « Sprawl II (Mountains Beyond Mountains) » qui sonne comme un croisement entre Depeche Mode et Cyndi Lauper, à la sauce montréalaise. Conçu comme un album concept, comme une lettre « from the suburbs » dans lesquels les membres Win et William Butler ont grandi, The Suburbs est peut-être l’album le plus accessible du groupe.

À nouveau, Arcade Fire suscite avec ce troisième album l’enthousiasme des critiques et du public. Meilleur album de l’année selon Q Magazine, BBC, Clash Magazine ou Exclaim!, 2ème sur les listes de Time, Under the Radar, Stereogum, Billboard, Magnet ou encore NME, dans le top 10 de Spin, Rolling Stone, MTV, Paste ou dans le top 15 de Pitchfork et Drowned in Sound. The Suburbs reçoit également le Polaris Music Prize, et est élu Album of the Year aux Juno Awards et aux Grammy Awards, ainsi que Best International Album aux BRIT Awards. Enfin, l’opus se classe en tête des charts américains, anglais, canadiens, irlandais, belges, portugais ou norvégiens, dans le top 5 français, espagnol, allemand, néerlandais, suisse ou encore néo-zélandais et dans le top 10 australien et suédois. The Suburbs est un succès à tous les niveaux et connaîtra une réédition moins d’un an après sa sortie avec quatre morceaux inédits dont le single en duo avec David Byrne (des Talking Heads), « Speaking in Tongues ».

 

Morceaux phares : « Ready to Start », « The Suburbs », « Month of May », « Sprawl II (Mountains Beyond Mountains) », « City with No Children »

Coup de cœur de Rebecca : « Empty Room »

 

 

 

REFLEKTOR

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« A two-record, 75-minute set of 13 songs and the best album Arcade Fire has ever made », Rolling Stone.

Un bébé et des graffitis aux quatre coins du globe plus tard, nous retrouvons Arcade Fire à l'automne 2013 avec une nouveau single, « Reflektor » (avec David Bowie en guest, svp !), et un nouvel album au titre similaire. Influencés par New Order, The Cure, The B-52's ou encore par les musiques traditionnelles haïtiennes, les Canadiens ont décidé d'injecter une bonne dose de rythmes chaloupés à leur musique rock indé. Qui de mieux pour les accompagner dans ce défi que le pape de la dance alternative, James Murphy, tête pensante de feu LCD Soundsystem et co-fondateur du label DFA Records ?

Conçu comme un double-album (format légendaire) autour des tout aussi légendaires figures d'Orphée et d'Eurydice, Reflektor présente deux faces distinctes : l'une sautillante et variée, où Arcade Fire expérimente différentes facettes de son nouveau son dance-rock (cf. : « Here Comes the Night Time », « We Exist », « You Already Know ») et l'autre plus méditative (cf. : « Here Comes the Night Time II », « Supersymmetry »).

Si les Canadiens d'Arcade Fire ont toujours eu pour habitude de créer une parfaite unanimité critique autour de leur musique, Reflektor, pour la première fois, divise un peu plus. Certains reprochant des plages inutilement longues (Drowned in Sound), une certaine faiblesse rhétorique et des crescendos trop habituels (Clash Magazine) ou encore une incapacité à distinguer et écarter les mauvaises idées des bonnes (The Guardian). D'un point de vue global, l'accueil réservé à Reflektor reste néanmoins très positif : la majorité des critiques saluant la faculté d'Arcade Fire à se réinventer avec intelligence (Mojo, The Line of Best Fit, The Independent, etc.) et Rolling Stone allant jusqu'à considérer le disque comme le meilleur album du groupe.

Morceaux phares : « Reflektor », « Afterlife », « Here Comes the Night Time », « Supersymmetry », « We Exist »

Coup de cœur de Rebecca : « It's Never Over (Hey Orpheus) »

EVERYTHING NOW

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« Departures in sound are often unwelcome [...] but, in this case, their experiments are a complete success », The Independent

Une promo à nouveau impeccable a accompagné la sortie du cinquième album – déjà ! – des Canadiens: un faux compte russe créé sur Twitter, un mystérieux live depuis la Vallée de la Mort, des anagrammes pour les titres des chansons, une imagerie superbe et des affiches à travers les grandes villes du monde pour annoncer leur retour. En un peu moins de quinze ans, Arcade Fire est bel et bien devenu le plus grand groupe rock du monde : plus vraiment underground, pas encore tout à fait mainstream, le groupe est l'un des plus acclamés qui soient et certainement celui qui parvient le plus facilement à mettre d'accord le public pop/rock le plus hétéroclite.

Pourtant, si la plage titulaire, le premier single « Everything Now », a été plus que chaleureusement accueilli (nommé "best new track" par Pitchfork, par exemple), Arcade Fire a pour la première fois véritablement divisé avec ce nouveau disque. L'orientation un peu électronique prise sur Reflektor avait déjà suscité quelques réserves (plutôt marginales, cela dit), celle choisie sur Everything Now a, elle, vraiment créé la discorde chez les critiques et les fans. Géniaux pour certains, ratés pour d'autres, les morceaux que composent ce nouveau disque lorgnent encore plus vers le dancefloor que ceux issus de Reflektor. « Electric Blue » sonne comme un hit de Donna Summer, « Signs of Life » comme du Blondie, « Everything Now » presque comme du ABBA, « Good God Damn » a, lui, quelque chose de chaloupé, de funky, on n'est pas loin du R&B. À la réalisation, on retrouve le fidèle Markus Dravs, mais aussi Thomas Bangalter de Daft Punk, qui n'est clairement pas étranger aux sons chauds, funky et scintillants qui traversent tout le disque.

L'histoire nous dira si ce surprenant opus a été jugé trop sévèrement ou pas. Arcade Fire est en tout cas tombé du piédestal sur lequel il reposait depuis plus de dix ans, mais, libérés de toute pression, cela ne peut qu'apporter que du positif pour leurs créations futures.

Morceaux phares : « Everything Now », « Creature Comfort », « Electric Blue »

Coup de cœur de Rebecca : « We Don't Deserve Love »

DOWN INTO THE WATER

 

I woke up with the power out/not really something to shout about

http://www.youtube.com/watch?v=0ozdCLrTrtA

Every time you close your eyes/Lies, lies !

http://www.youtube.com/watch?v=MQvZ4N1RfS8

Un ! Deux ! Trois ! Dis : Miroir noir ! Black mirror !

http://www.youtube.com/watch?v=aXuymDSGCko

In the suburbs I/I learned to drive

http://www.youtube.com/watch?v=5Euj9f3gdyM

Living in the sprawl/Dead shopping malls rise like mountains beyond mountains

http://www.youtube.com/watch?v=NuSbELCNloc

Just a reflection of a reflection of a reflection of a reflection of a reflection, ah!

http://www.youtube.com/watch?v=7E0fVfectDo

I pledge allegiance to everything now !

https://www.youtube.com/watch?v=zC30BYR3CUk

 

 

 

 

 

OCEAN IN A SHELL

Arcade Fire (Neon Bible) : black wave

• Arcade Fire (The Suburbs/Reflektor) : deep blue

• Arcade Fire (Ventes) : red light

La Castration du Chat en 10 Leçons Faciles : black mirror

  • Like 15
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OH. MON. DIEU.


Je ne saurais pas dire à quel point j'aime ce groupe, ils ont une discographie absolument parfaite. RIEN n'est à jeter. Mon album préféré est Funeral, un album totalement poignant, sur le podium all-time de mes LP préférés.


Après, franchement, pour ne retenir qu'un titre, c'est super chaud. Peut-être celui-ci...

 

 

Super post en tout cas, je ne savais pas qu'un EP live avec David Bowie avait été enregistré, je fonce me renseigner là-desus.

  • Like 3
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Rebellion (Lies) restera leur morceau mythique, il me semble que c'est leur single le plus connu

 

C'est très possible, c'est l'un des plus acclamés en tout cas.

 

J'avais vu le groupe en live en 2007; j'en garde un souvenir divin. C'était en festival (probablement le meilleur endroit possible pour voir ce groupe), la nuit d'été tombait, on était des milliers et des milliers de jeunes et on chantait tous à l'unison sur "Rebellion (Lies)", "No Cars Go", "Wake Up", "Neighborhood #1 (Tunnels)". J'en avais les larmes aux yeux, c'était tellement incroyable et puissant. Globalement, le premier album reste pour moi l'album des hymnes fédérateurs.

The Suburbs, que j'aime autant que Funeral, me semble contenir moins de chansons de ce type (à part peut-être "We Used to Wait"), mais c'est peut-être parce que je n'ai jamais eu la chance de voir le groupe en live avec cet opus.

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  • 2 semaines après...

Lorsque je clique sur Neon Bible, il y a un bug, je suis reporté à la vidéo de Sprawl !

C'est une torture de choisir le meilleur album, chacun a ses raison d'être le meilleur. J'ai toujours un rapport passionnel avec le second, parce qu'il est arrivé à l'époque où je découvrais le groupe, mais surtout parce que dans ses meilleurs moments il est sublime : Funeral n'a aucun défaut, et bénéficie de l'effet de surprise, il compte presque uniquement des grands titres et nourrit particulièrement le rêve de voir ce groupe en live, dès la première écoute.

Mais le milieu de Neon Bible, de l'onctueuse chanson titre aux derniers souffles de "The Well and the Lighthouse", est un des plus éblouissants moments de musique que j'ai jamais découvert, et les 3 derniers titres aussi.

 

Sur le dernier album, ils sont géniaux, et l'album finit par revenir régulièrement en bruit de fond, sans y prêter toujours une grande attention. Paradoxalement, mes chansons préférées ne sont pas dans la liste : Modern Man et Suburban War.

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  • 6 mois après...
  • 5 mois après...

Reflektor est incontestablement mon album préféré de 2013, et depuis cet immense coup de coeur, je n'ai qu'une envie: me plonger dans leur disco. Sinon je vois que l'OST de Her n'a pas été mentionné et je voulais juste dire que je le trouvais fabuleux, qu'il méritait tout les awards aux ceremonies car c'est une des forces du film.

  • Like 1
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  • 4 semaines après...
  • 3 mois après...

Je découvre doucement arcade fire depuis deux mois.

Je suis totalement in love avec Intervention, Keep the car running, Afterlife et Reflektor.

Neon Bible est mon album préféré.

Funeral.....tout le monde le dit génial mais j'accroche pas du tout a part a power out.

Sinon pour la bo de Her, quelqu'un connait le titre ? je le trouve nulle part

  • Like 1
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  • 9 mois après...

Je les ai découverts l'été dernier, et finalement ce mois-ci ça y est, j'ai fini de bouffer leur disco et de m'approprier le tout.

Ben voila je ressort le topic juste pour dire qu'ils sont énormes, que pour moi la musique c'était rien il y a encore deux ans, et puis cet hiver, je décide d'écouter Neon Bible (qui reste mon album préféré d'eux) et je me suis pris une méchante claque dans la gueule. J'adorais tout, j'adore toujours tout (à part Windowsill tbh jpp celle la).

Leur musique est tellement lumineuse et apporte tellement d'émotions quelque soit la chanson, c'est assez incroyable.

Je vois que personne n'a cité ma favorite sur The Suburbs, une magnifique petite perle de nostalgie: Half Light I (découverte le mois dernier, elle fait maintenant partie de mes préférées).

J'accroche finalement à Funeral avec lequel j'avais beaucoup de mal (j'ai honte vu que tout le monde le consacre en+).

Mon petit tableau ressemblerait finalement à ca:

 

1°) NEON BIBLE : Intervention / Keep The Car Running / The Well And The Lighthouse / No Cars Go / Ocean Of Noise

2°) THE SUBURBS : Half Light I / City With No Children / Sprawl II / Empty Room

3°) REFLEKTOR : Afterlife / It's Never Over / Reflektor / Normal Person

4°) FUNERAL : Power Out / In The Backseat / Une Année Sans Lumière

 

None of us can tell,

They hide the ocean in the shell :throb:

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