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Depeche Mode • De Speak & Spell À Memento Mori


Depeche Mode (1981 - Aujourd'hui)  

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  1. 1. Ton album préféré ?

    • Speak and Spell (1981)
      0
    • A Broken Frame (1982)
      0
    • Construction Time Again (1983)
      0
    • Some Great Reward (1984)
    • Black Celebration (1986)
    • Music for the Masses (1987)
    • Violator (1990)
    • Songs of Faith and Devotion (1993)
    • Ultra (1997)
    • Exciter (2001)
    • Playing the Angel (2005)
    • Sounds of the Universe (2009)
    • Delta Machine (2013)
    • Spirit (2017)
      0
    • Memento Mori (2023)
  2. 2. Ton single préféré (parmi ceux-ci) ?

    • Just Can't Get Enough (1981)
    • Everything Counts (1983)
    • People Are People (1984)
    • Master and Servant (1984)
    • Shake the Disease (1986)
    • Stripped (1986)
    • Strangelove (1987)
    • Never Let Me Down Again (1987)
    • Behind the Wheel (1987)
    • Personal Jesus (1989)
    • Enjoy the Silence (1990)
    • I Feel You (1993)
    • Walking in My Shoes (1993)
    • Barrel of a Gun (1997)
    • Dream On (2001)
    • Precious (2005)
    • Wrong (2009)
    • Heaven (2013)
    • Where's the Revolution (2017)
      0
    • Ghosts Again (2023)


Messages recommandés

Depeche Mode

 

De Speak & Spell à Memento Mori

 

 

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DISCOGRAPHIE

 

 

1. Speak & Spell

 

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Après trois singles (« Dreaming of Me », « New Life » et le classique synthpop « Just Can’t Get Enough ») parus au cours de l’année 1981, est édité le premier album du groupe anglais, Depeche Mode. Si cette première galette a un goût quelque peu différent de ce que proposera les quatre très jeunes hommes (la moyenne d’âge est de vingt ans) par la suite, c’est parce que Martin Gore n’a pas encore pris les rennes du groupe. Un peu à l’image de Syd Barrett et Pink Floyd, Vince Clarke, compositeur en chef du Depeche Mode d’alors, va très vite quitter le groupe pour fonder le superbe duo new wave Yazoo. Le très bon premier album de Yazoo, Upstairs at Eric’s sorti en 1982, est d’ailleurs très nettement supérieur à Speak & Spell. Porté par une sonorité résolument pop, le premier disque de Depeche Mode n’en est pas moins un agréable opus, au charme aujourd’hui vintage.

À noter que le premier single du groupe, « Dreaming of Me », n’apparaît pas sur la première édition de Speak & Spell.

 

Morceaux phares : « Just Can’t Get Enough », « New Life », « Photographic »

Coup de cœur Rebecca : « Puppets »

 

 

 

2. A Broken Frame

 

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Sorti l’année suivante, en 1982, A Broken Frame voit Martin Gore prendre le rôle de songwriter en chef suite au départ de Vince Clarke. Ce premier essai ne sera pas très concluant : les singles ne rencontreront pas le même succès que les précédents (« Just Can’t Get Enough » en tête) et Gore déclarera d’ailleurs longtemps après que l’album est selon lui le plus mauvais du groupe, la majorité de l’album étant composé de vieilles chansons de Gore remixées à la sauce new wave. A Broken Fame n’est cependant pas un ratage complet : il parvient à séduire par son côté délicieusement pop vintage (« The Meaning of Love ») et par l’aspect naïf et touchant de certaines compositions (« See You », « A Photograh of You ») qui rappellent notamment les groupes pop des 60s. L’album se clôt sur « The Sun and the Rainfall », probablement le meilleur morceau de l’opus, celui qui déjà annonce les côtés plus sombres du groupe.

 

Morceaux phares : « See You », « The Meaning of Love », « The Sun and the Rainfall »

Coup de cœur Rebecca : « Monument »

 

 

 

3. Construction Time Again

 

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Après un A Broken Frame en demi-teinte, aussi bien musicalement que commercialement, Construction Time Again (1983), porté par le désormais célèbre « Everything Counts », propose un son plus pêchu, déjà plus sombre, et plus industriel. Le premier single, « Everything Counts », dont la vidéo est tournée dans Berlin-Ouest, est d’ailleurs le morceau le plus pop de l’album, le plus mémorable aussi. Avec Construction Time Again, le groupe se détache de l’image un peu trop lisse que les « Just Can’t Get Enough » et autres « New Life » avaient façonnés. Cependant, l’ensemble manque encore de force et sonne comme un brouillon de Some Great Reward, qui sortira l’année suivante. Bien qu’essentiel pour comprendre l’évolution du groupe, Construction Time Again n’est tout au plus qu’un album sympathique, mais il n’est que très rarement génial.

 

Morceaux phares : « Everything Counts », « Love, in Itself »

Coup de cœur Rebecca : « The Landscape Is Changing »

 

 

 

4. Some Great Reward

 

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Dans le clip de « Everything Counts » était annoncé le départ pour Berlin, c’est donc (notamment) dans la ville divisée que se fera l’enregistrement de l’album. Marqué par les incontournables de Depeche Mode, « People Are People » (leur premier vrai hit à travers le monde) et « Master and Servant », Some Great Reward est le premier très bon album du groupe. Les sonorités industrielles sont plus que jamais présentes, de l’agressive première plage « Something to Do » au final « Blasphemous Rumours ». Seule la délicate balade au piano (plutôt très rare pour le groupe), « Somebody », chantée par Gore et non pas Dave Gahan, fait office de pause dans cet univers indus implacable. Les thèmes de la mort, du sexe, de l’amour et de la religion, chères au gothique Gore, parcourent l’album et deviendront classiques sur les prochains albums du groupe, et notamment le suivant, le sombre Black Celebration (1986).

 

Morceaux phares : « People Are People », « Master and Servant », « Blasphemous Rumours », « Somebody »

Coup de cœur Rebecca : « Lie to Me »

 

 

 

5. Black Celebration

 

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Fort du succès de Some Great Reward, Depeche Mode publie en 1985 un premier best of (The Singles 81>85) emmené par les singles inédits « Shake the Disease » et « It’s Called a Heart ». Ce dernier a pour b-side l’excellent « Fly on the Windscreen » qui sera également présent sur Black Celebration. Pour l’anecdote, le groupe souhaitait sortir « Fly on the Windscreen » en single au lieu de « It’s Called a Heart », mais a dû essuyé le refus de la maison à cause du texte très sombre de la chanson (« death is everywheeeere »).

À peine quelques mois après le greatest hits, Black Celebration sort. Résolument sombre, l’opus enterre définitivement l’image de gentils garçons qui colle à la peau du groupe. Les morceaux que composent la galette forment un tout (chaque chanson est liée à la précédente) et sont interprétés religieusement par Gahan et Gore : on a l’impression d’assister à un sabbat : l’album porte, pour sûr, extrêmement bien son nom. Black Celebration est très certainement le meilleur album du groupe dans les années 1980, avec le suivant Music for the Masses (1987).

 

Morceaux phares : « A Question of Lust », « A Question of Time », « Stripped », « Black Celebration »

Coup de cœur Rebecca : « Fly on the Windscreen – Final »

 

 

 

6. Music for the Masses

 

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Au titre plein d’ironie, Music for the Masses est souvent considéré comme le meilleur album du groupe dans les années 1980 et comme leur meilleur album tout court avec (le plus facile d’accès) Violator (1990). Gorgé de hits (« Strangelove », « Never Let Me Down Again », « Behind the Wheel »), l’opus réussit le pari de concilier succès commercial et sonorités plus sombres et complexes (« Little 15 », « Pimpf », « I Want You Now »). Le son est également mieux dompté que sur les disques précédents : si Some Great Reward avait encore un côté indus brut et mal léché, Music for the Masses se montre beaucoup plus chiadé. À l’époque, le groupe est au sommet de sa gloire : Depeche Mode embarque une grande tournée aux quatre coins du monde pour laquelle paraîtra en 1989 un disque live (101).

 

Morceaux phares : « Strangelove », « Never Let Me Down Again », « Behind the Wheel », « Little 15 »

Coup de cœur Rebecca : « The Things You Said »

 

 

 

7. Violator

 

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Annoncé par le single « Personal Jesus » à la fin de l’été 1989, Violator sera surtout porté par le single « Enjoy the Silence » sorti en février 1990, un mois avant la sortie de l’album. On peut d’ailleurs noter une subtile différence de style et de son entre le hit « Personal Jesus » et le reste de l’album, comme si cette chanson avait été composée bien avant, c’est-à-dire en langage « depeche-mode » quelques mois avant les autres plages. « Personal Jesus » fait en quelque sorte office de trait d’union entre Music for the Masses et Violator. Très léché, moins synthpop, ce dernier annonce en grande pompe le Depeche Mode des 1990s. Composé d’une pléiade de tubes, Violator est le plus gros succès critique et surtout commercial (« on » le considère d’ailleurs souvent comme leur meilleur album, leur album-signature). Assez paradoxal pour un album qui porte un titre aussi crû (« une blague », selon Martin Gore).

 

Morceaux phares : « Personal Jesus », « Enjoy the Silence », « World in My Eyes », « Policy of Truth »

Coup de cœur Rebecca : « Waiting for the Night »

 

 

 

8. Songs of Faith and Devotion

 

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Trois ans plus tard paraît Songs of Faith and Devotion. Toujours porté par une Depeche Mode-mania, l’album se vendra bien, mais – il fallait s’y attendre – moins que que le précédent. Plus rock’n’roll, il faut dire que par rapport à Violator, il est plus difficile d’accès et ne contient pas réellement de tube imparable. Le rock marque obstinément le début de la décennie 1990, il n’est donc pas étonnant de retrouver des grosses guitares tout au long de l’album comme sur le premier single, « I Feel You ». Songs of Faith and Devotion renoue également avec l’atmosphère quasi-religieuse d’un Black Celebration ; ainsi, les textes empruntent au religieux (« Mercy in You », « Judas ») et les titres « Condemnation » et « Get Right with Me » mélangent dance alternative, rock, mais aussi plus étonnamment gospel.

 

Morceaux phares : « I Feel You », « Walking in My Shoes », « In Your Room », « Condemnation »

Coup de cœur Rebecca : « Get Right with Me »

 

 

 

9. Ultra

 

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Sorti quatre ans après Songs of Faith and Devotion – à partir d’ici, chaque album requerra une attente de quatre ans – Ultra aurait pu ne jamais sortir. En effet, Alan Wilder a quitté le groupe, réduisant à trois l’effectif ; Dave Gahan est, quant à lui, dépressif et shooté à l’extrême. Le chanteur intéresse plus les magazines pour ses frasques et ses overdoses que pour ses talents de chanteur. Le groupe est à l’agonie. Obligé d’entrer en désintox, Gahan est clean au milieu de l’année 1996 et les sessions d’enregistrement commencent. Initialement conçu comme un EP, Ultra sera finalement le plus long album du groupe. Moins rock que Songs of Faith and Devotion, moins commercial que Violator, moins tubesque que Music for the Masses, Ultra est plus radical, à l’image de son premier et excellent single « Barrel of a Gun ». Chargé de textes lourds mais aussi plein d’espoir, Ultra est l’album post-overdose de Gahan et du groupe. Souvent sous-estimé – il faut dire qu’il ne contient pas de hit, à l’exception peut-être de « It’s No Good » – Ultra jouit pourtant d’une très bonne réputation chez les fans de la deuxième, voire de la troisième et de la quatrième, heure.

 

Morceaux phares : « Barrel of a Gun », « It’s No Good », « Home », « Useless »

Coup de cœur Rebecca : « Jazz Thieves »

 

 

 

10. Exciter

 

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Produit par Mark Bell, nom souvent associé à celui de Björk, Exciter (2001) ouvre pour Depeche Mode le chemin des années 2000. Le groupe a vingt ans : Exciter, c’est un peu le premier album du groupe en tant que vieux briscard de la pop music. L’album est emmené par le succès « Dream On », qui mélange intelligemment electro et acoustique, et reçoit des critiques en demi-teinte. Il faut dire que le groupe étonne peu sur ce disque. Le travail est fait, les singles sont bons, l’ensemble est ok, mais ça manque d’audace et de relief. On a l’impression que le groupe a manqué l’album qu’il voulait réellement réaliser – un peu comme, la même année, Garbage n’a pas su concrétiser l’idée d’album qu’il nourrissait pour Beautiful Garbage.

 

Morceaux phares : « Dream On », « I Feel Loved », « Freelove »

Coup de cœur Rebecca : « Easy Tiger »

 

 

 

11. Playing the Angel

 

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Dès les premières notes, on sait que Playing the Angel (2005) ne sera pas comme Exciter. L’electronica léchée et un peu molle fait place à un son plus pêchu, plus agressif. « A Pain That I’m Used To » sonne comme un « Personal Jesus » sous amphétamines. L’ensemble de l’album suit d’ailleurs ce sillon : l’electro brute au parfum d’indus marque son retour. Conduit par le single « Precious », l’un des morceaux phares du Depeche Mode des 2000s, Playing the Angel reçoit un très bon accueil critique et public. À noter que l’opus voit également Dave Gahan s’essayer à ses premières compos pour le groupe (le single « Suffer Well », par exemple). Il s’agit également du premier album de la trilogie produite par Ben Hillier.

 

Morceaux phares : « Precious », « Suffer Well », « A Pain That I’m Used To », « John the Revelator »

Coup de cœur Rebecca : « Lilian »

 

 

 

12. Sounds of the Universe

 

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Sounds of the Universe (2009) suit le chemin entamé par l’album précédent, en plus facile d’accès peut-être et en moins industriel. À nouveau paru quatre ans après l’opus précédent, à nouveau produit par Ben Hillier, à nouveau saupoudré de deux-trois morceaux composés par Gahan, Depeche Mode étonne peu, mais fait correctement le boulot. Emmené par un premier single pêchu (« Wrong » et sa cool vidéo violente), Sounds of the Universe est un bon album, mais sans grande inventivité. Et si Depeche Mode devenait ce vieux groupe, une sorte de valeur sûre, qui remplit à chaque nouvel album le contrat, mais qui peine à surprendre et à se renouveler ?

 

Morceaux phares : « Wrong », « Peace », « Hole to Feed », « Fragile Tension »

Coup de cœur Rebecca : « Perfect »

 

 

 

13. Delta Machine

 

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Morceaux phares : « Heaven », « Soothe My Soul »

Coup de cœur Rebecca : « Goodbye »

 

 

14. Spirit

 

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Morceaux phares : « Where's the Revolution? », « Going Backwards »

Coup de cœur Rebecca : « Poorman »

 

 

15. Memento Mori

 

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Morceaux phares : « Ghosts Again »

Coup de cœur Rebecca : « People Are Good »

 

 

Pour plus d'infos sur Depeche Mode et la new wave:

 

Nobody Knows That I'm New Wave: ici

 

Depeche Mode - Topic Officiel: ici

 

Depeche Mode - Chiffres: ici

 

Depeche Mode - Delta Machine Tour: ici

 

Depeche Mode - Heaven (clip): ici

 

 

 

VIDEOS

 

 

 

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J'aime Rebecca et j'aime tous ses topics :throb:

 

Je ne connais que Violator et Playing the angel. J'aime beaucoup les deux, il faut que je me penche plus en détail sur leur disco, c'est un groupe qui m'attire énormément. J'avais écouté une fois Sound of Universe, et j'avais assez aimé.

 

Bref, merci pour ce topic ! ^^

 

J'ai hâte que l'album sorte, sinon :)

  • Like 1
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Merci pour ce topic qui tombe bien car je suis en pleine découverte de depeche mode depuis 3 jours, j'ai commencé par sounds of the universe car dingue de wrong depuis sa sortie! j'aime beaucoup Jezebel et peace. Quand j'aurai bien digéré cet album je me pencherai sur le reste de leur discographie :)

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J'avais très envie de m'exprimer sur le groupe tout en déplorant l'absence d'un topic qui leur soit consacré dans cette partie du forum, celui-ci tombe pile-poil (en plus d'être d'être magnifiquement détaillé :wub: )

Je me suis embarqué dans un tour général de leur discographie, pour moi il y a de l'excellent (surtout) comme du médiocre voire du mauvais.

Violator marque clairement une transition dans l'histoire du groupe, je m'en sert comme point de repère.

Des albums pré-Violator je n'en retiens pas grand chose, l'ensemble sonne trop kitch à mes oreilles, et présente peu d'intérêt. Black Celebration et Music for The Masses sont les seuls albums sur lesquels je reviendrais déjà plus proches du son Depeche Mode des 90's.

Les albums post-Violator (Violator inclus) changent complétement la donne, l'excellent se situe clairement ici. Bien évidement Violator et le single Personnal Jesus restent des incoutournables mais les albums qui le suivent le surpasse de loin.

Notament et surtout Songs for Faith and Devotion, Ultra et Exciter qui m'ont énormément plu, mon album préféré se situerait d'ailleurs entre ces 3 là, des univers qui transportent.

Playing the Angel m'a surpris, beaucoup plus qu'Exciter bizzarement, excellent mais déroutant, je ne doute cependant pas de son énorme potentiel de grower.

Ce petit tour d'horizon m'a donner les bases pour mieux apréhender Delta Machine, très hâte d'écouter ce dernier et de voir comment je le situerai par rapport aux autres. 49302c4d.gif

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L'un des meilleurs groupes de tous les temps, ni plus, ni moins.

 

"Violator" est comme un livre de chevet, un point de départ, dans un sens (90 à 80) comme dans l'autre (90 à 2013!). Pour moi, les autres moments forts sont "Music For The Masses" & "Playing The Angel". La faute de parcours (toujours en ce qui me concerne, hein) est "Sounds Of The Universe".

 

Difficile de dire qu'elle est mon morceau favori mais je crois qu'au milieu des dizaines de titres dont je ne me lasserais ja-mais, "Shake The Disease" a une place particulière.

 

Et je ne pourrais que vous conseiller d'écouter "Hourglass", deuxième album solo de Dave Gahan dont les qualités de songwriter ont longtemps été étouffée par le grand Martin Gore.

  • Like 3
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Difficile de dire qu'elle est mon morceau favori mais je crois qu'au milieu des dizaines de titres dont je ne me lasserais ja-mais, "Shake The Disease" a une place particulière.

 

Idem !! J'adore ce morceau assez peu connu finalement. La version live de 1988 est titanesque, mais je suis sur que tu dois la connaitre !!^^

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Je pense que j'ai d'ailleurs découvert cette chanson par le live de 88 justement. Mon père écoutait beaucoup l'album live 101.

 

Je l'adore cet album live. D.M a réussi le pari assez fou de retranscrire sur scène un son studio qui n'était pas à l'origine forcément adapté pour être jouer dans des conditions live.

Ils s'en sortent comme des Dieux et quelle ambiance !! C'est aussi parait'il le premier groupe pop electro a avoir rempli un stade.

 

  • Like 2
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Tu as oublié "a pain that i'm used to" dans les single favori :(

 

 

C'était difficile, mais je me suis limité à 20 singles par souci de lisibilité. Sinon, en effet, j'aurais ajouté "A Question of Time", "I Feel Loved", "Walking in My Shoes", "World in My Eyes", "See You", "Policy of Truth" et autres "Blasphemous Rumours".

Concernant le nouveau single, j'aime mais sans beaucoup plus. Il y a en effet ce côté "Personal Jesus"... d'ailleurs on devrait recenser toutes les chansons de Depeche Mode qui ont ce côté personnel christique.

 

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