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Françoise Hardy - Personne d'autre (06/04) | Single: Le large


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"Pourquoi vous?" en écoute intégrale

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Ce titre est merveilleux!

 

C'est tout simplement subliiiiime , un pur moment de grâce, c'est si beau que j'ai envie de verser quelques larmes ! magnifique voix, Françoise n'a pas besoin d'en faire des caisses, la musique est somptueuse, ce texte et son chant l'accompagnent divinement :wub:

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http://www.telerama.fr/musique/regardez-quatre-videos-tirees-de-l-amour-fou-de-francoise-hardy,88807.php

 

Regardez quatre vidéos tirées de “L'Amour fou”, de Françoise Hardy

Musiques | En avant-première, nous vous proposons de découvrir plusieurs titres, en vidéo, du nouvel album ensorcelant de Françoise Hardy.

 

Le 30/10/2012 à 10h28

 

Avec elle, l'amour est rarement léger. Dans son dernier album, il est irraisonné. Et souvent tragique. Dans quelques jours, Françoise Hardy sort L'amour fou (Virgin EMI), qui marque le cinquantième anniversaire de son tout premier disque.

Album mélancolique à la noirceur ensorcelante, elle y conte encore et toujours la même histoire d'amour, entre désir et manque. Son histoire, sans doute.

 

La plupart des textes sont de sa plume. Les mélodies sont notamment signées Thierry Stremler, Julien Doré ou Calogero.

Depuis ses débuts, la voix n'a pas changé... mais peut-être Françoise Hardy n'a-t-elle jamais aussi bien chanté que sur ce disque-ci. Son interprétation s'avère en tout cas souvent bouleversante.

 

L'Amour fou est un disque coup de cœur de Télérama, ffff . En avant-première, nous vous proposons d'en découvrir plusieurs titres, en vidéo.

 

 

http://www.telerama.fr/musique/francoise-hardy-je-suis-passionnee-par-tout-ce-qui-traite-de-l-amour-vrai,88802.php

 

Françoise Hardy : “Je suis passionnée par tout ce qui traite de l'amour vrai”

Entretien | Elle est franche, au risque de déplaire. Françoise Hardy sort un disque intense, “L'Amour fou” et fait le point sur les polémiques passées.

 

Le 29/10/2012 à 18h18

Propos recueillis par Valérie Lehoux

 

 

 

L'amour, la chanson, les polémiques, les adieux... Françoise Hardy a accepté de nous parler de tout cela à l'occasion de la sortie, lundi prochain, de L'Amour fou (Virgin/EMI), un disque (accompagné d'un livre), qui marque le cinquantième anniversaire de ses débuts. Elle raconte ce que ce nouveau disque représente pour elle. Et s'explique sur les remous qu'avaient suscités ses déclarations sur l'ISF. Enfin, en avant-première et en vidéo, nous vous proposons de découvrir plusieurs titres de son album.

 

Vos déclarations anti-ISF dans la presse, au printemps dernier, ont créé la polémique...

D'abord, contrairement à ce qui a été écrit, je n'ai pas parlé de « drame » des gens qui payent l'ISF. Le drame, ce sont les gens qui perdent leur emploi à cause des délocalisations et de la crise, et dont on entend parler tous les jours dans les journaux. Ensuite, je n'ai jamais dit que j'allais me retrouver à la rue. C'est absurde. Et encore moins que j'allais m'exiler ! Ce qui s'est passé, c'est une conversation off, en marge d'une interview croisée que j'ai donnée avec Katie Melua. A un certain moment, le journaliste lui demande où elle habite ; elle parle de New-York et de Londres, et je lui dit que ce sont deux villes où j'aurais pu vivre... C'est tout ! Ensuite, le journaliste enchaîne en me demandant où j'habite ; je lui dis, toujours en off et très honnêtement, que je suis avenue Foch mais que je vais être obligée de déménager à cause des impôts devenus trop lourds. Et quelques jours plus tard, je lis avec stupéfaction que je vais partir en exil fiscal ! Ces sont des dénaturations totales.

 

Comment avez-vous réagi ?

Cette histoire m'a excédée. Elle a dégénéré. Des journaux, même sérieux, se sont mis à parler de moi, qui ai tout le temps payé mes impôts rubis sur l'ongle, qui n'ai jamais trafiqué quoi que ce soit, qui n'ai jamais bougé de France... Pourquoi ne parlent-ils pas des artistes en effet exilés fiscaux, en Belgique ou en Suisse ? On me fait passer pour une vieille diva qui veut partir planquer ses milliards à New York ou à Londres – qui sont d'ailleurs parmi les villes les plus chères du monde. Or si je suis très privilégiée, je ne suis pas assise sur un tas d'or. Mais qu'importe. Je n'ai jamais envisagé une seconde aller vivre à des milliers de kilomètres de mes amis et de ma famille. Arrêtons avec ça.

 

Dans toute cette histoire, vous avez semblé très engagée politiquement...

Beaucoup de gens de ma génération, qui sortent du petit peuple et pas de la bourgeoise – ce qui est mon cas –, ont grandi dans des familles qui votaient à droite. Chez moi, on était gaulliste. J'ai gardé cette sensibilité. Mais je ne suis pas une idéologue. Je n'apprécie pas tout ce qui se dit ou se fait à droite, et je ne dénigre pas tout ce qui se fait ou se dit à gauche. A vrai dire, fondamentalement, je suis plutôt centriste.

 

Pour revenir au disque, vous semblez n'avoir jamais chanté avec autant d'intensité...

J'ai senti, quand j'enregistrais les voix, qu'il régnait une espèce d'état de grâce. Que j'étais portée par les mélodies et par la qualité du son. Mélodiquement, ces chansons me correspondent. Il est plus facile pour moi de chanter des chansons lentes que des chansons rythmiques. J'ai pris un plaisir plus grand à chanter. Je l'ai toujours... Mais cette fois, particulièrement. Et puis nous avons enregistré ce disque dans une ambiance très harmonieuse, sans conflit avec personne. C'est rare !

 

Pourquoi l'avoir intitulé L'amour fou ?

Il y avait cette phrase, dans le premier texte que j'ai écrit pour le disque : « Seriez-vous insensible à l'amour impossible, à l'amour fou »... J'ai trouvé que cela était un bon titre, une bonne matrice pour le reste. Evidemment, je connaissais le roman d'André Breton mais, allez savoir pourquoi, je ne suis jamais arrivée à le lire. L'Amour fou est un titre multiple, qui appartient à tout le monde. Il a donné une direction aux autres textes de l'album.

 

Il y a beaucoup de tristesse dans ce disque...

Que voulez-vous, il parle d'amour fou... Or la souffrance en est souvent la résultante. L'amour fou, ce sont des sentiments excessifs, et donc une demande excessive qui ne peut mener qu'à de grandes insatisfactions. Une demande excessive émane souvent d'un être vulnérable, pas très équilibré, un peu névrosé ; et si cette demande s'adresse à quelqu'un d'également fragile, pas très sûr de lui, elle le fait fuir... Je pense, et j'espère, qu'il existe des couples s'aimant de manière équilibrée. J'ai connu le couple que formaient Mireille et Emmanuel Berl : ces deux-là s'aimaient vraiment, et ça se voyait. D'une façon générale, je suis passionnée par tout ce qui traite de l'amour vrai. L'amour sublimé. Les films, les livres que j'aime le plus, sont ceux qui en parlent. Au fond aujourd'hui, je vis l'amour fou par procuration ! (rires)

 

C'est un idéal vers lequel vous tendez ?

J'aurais aimé aimer comme ça. Cela n'a pas été le cas. Et maintenant, tout ce qui est d'ordre amoureux est loin derrière moi.

 

L'idée du deuil est également très présente...

Disons surtout qu'il se referme sur une chanson, Rendez vous dans une autre vie, qui y fait clairement allusion. Cela faisait un moment que j'avais envie d'une chanson comme celle-ci. Quand on arrive à l'heure des bilans, on a envie de remercier les êtres qui vous ont fait battre le cœur. Je n'en ai jamais voulu à qui que ce soit d'avoir vécu des choses difficiles, car j'ai toujours pris la mesure de ma part de responsabilité, qui était très grande, très grande... Non, je voulais juste remercier l'autre, d'être ce qu'il est, et de m'avoir provoqué des sentiments aussi forts. D'avoir pimenté ma vie à ce point. La chanson dit ceci : « Tous vos non-dits, vos interdits, ont fait le sel de ma vie, ses plus grands défis ». C'est vraiment ce que j'ai vécu.

 

 

 

Est-ce à dire que c'est un disque d'adieu ?

C'est possible. Je vis avec cette idée de dernière fois.

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Françoise Hardy : la chanson comme un baume

LE MONDE | 05.11.2012 à 13h37

Par Véronique Mortaigne

 

Françoise Hardy met des distances hygiénistes. "Je ne serre plus la main des gens", précise-t-elle, puis parle, sans poser de limites formelles. "Les chansons m'ont toujours apporté tellement de joie, de bonheur, de rêve ! Quand elles sont belles, et même tristes à pleurer, elles sont comme un baume. Voilà l'utilité du chanteur."

 

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Elle vient de déménager, troquant un triplex où "Jacques [Dutronc] avait son étage" et elle le sien pour un appartement de plain-pied, entouré de verdure. Il y a parfois des insectes, c'est ennuyeux. Jacques, qui vit en Corse, y a perdu son espace : "Il a l'impression d'être SDF", s'amuse-t-elle.

Dans son autobiographie, Le Désespoir des singes... et autres bagatelles, (Robert Laffont , 2008 ), la chanteuse aux deux carrières - celle qu'elle réprouve, "les chansonnettes du début", et celle qu'elle revendique, à partir de La Question (1971) - raconte comment elle a appris, en 2003, qu'elle est atteinte d'un lymphome de type MALT.

 

Puis, ce sont genoux fous, plèvre décollée, stress en quantité, coeur en affolement : Françoise Hardy, 68 ans, est une intranquille. Elle publie aujourd'hui L'Amour fou, oeuvre à double face : un disque de dix titres chez Virgin/EMI (son 27e) et un roman de 190 pages chez Albin Michel. Hier, dit-elle, elle était au 36e dessous, tout à l'heure, même. A présent, en ce début d'après-midi automnal et ensoleillé, ça va. Elle est en jeans, porte un blouson d'adolescente bleu marine et blanc. Elle est vive, loquace, brillante et brouillonne, avec une énergie intacte.

 

"Vous sentez-vous menacée ?

 

- Je ne sais pas si je serai là l'année prochaine. Je n'arrive pas à m'habituer, j'ai toujours été très indépendante, très active. Depuis trois ou quatre ans, je dois marcher très lentement, je n'ai plus la force. Je suis sur un fil. Il est très handicapant de ne pas pouvoir compter sur soi-même, j'aime bien contrôler, planifier." "Le vieillissement est une épreuve, ajoute-t-elle avec une vigueur de ton tranchant sur le propos, est une épreuve. Tout se déglingue, on voit plus mal, on a mal partout. Heureusement, les plus jeunes ne réalisent pas."

 

En novembre 2011, c'est les bras dans le plâtre qu'elle vient assister au concert de son fils, Thomas Dutronc, aux Folies Bergère à Paris. "Un matin, en allant chercher le courrier avenue Foch [son ancienne adresse], je me prends les pieds dans le fil de l'aspirateur que passait un employé, et je fais un vol plané. Je me fracture le poignet gauche, le coude droit, je me retrouve à l'hôpital."

 

Les coulisses des Folies Bergère sont dangereuses - "Il y a mille occasions de se casser la figure !" -, des rideaux, des fils, des caisses, des couloirs étroits. Françoise Hardy évoque Patients (Don Quichotte éd., 163 p. 15€), l'autobiographie où le slameur Grand Corps Malade, rendu infirme par un mauvais plongeon, raconte le calvaire de la dépendance. L'Amour fou, l'album, se termine par Rendez-vous dans une autre vie, sur une musique plutôt dansante de François Maurin.

 

"L'Amour fou parle-t-il de la mort ?

 

- La mort ? Ah ! Oui, vous voulez parler de Fous de Bassan ? C'est une chanson que j'ai écrite à partir d'un fait-divers. Comme toutes les personnes qui vivent seules, j'écoute beaucoup la radio. Je suis dans ma cuisine en train d'éplucher mes légumes, et j'entends ces histoires récurrentes de jeunes filles parties se promener et qui disparaissent parce qu'elles ont croisé un monstre. Cela fait froid dans le dos. A la télévision, j'avais vu un documentaire sur la mer du Nord, avec des fous de Bassan, ces horribles oiseaux, terrifiants à entendre, qui prolifèrent accrochés sur des rochers [vers l'île inhabitée de Bass Rock, en Ecosse]. La mélodie, très aquatique, est signée de Pascal Colomb, qui avait été assistant au studio Plus 30, où j'ai beaucoup travaillé."

 

Une flamme transparente anime derechef Françoise Hardy. Elle part toujours, dit-elle, des mélodies qu'on lui envoie. "Après, j'écris. J'ai une écriture concise, simple, pas vraiment poétique, ni lyrique ni hermétique." Elle adore le travail en studio, particulièrement à Labomatic que dirigent Dominique Blanc-Francard et sa femme, Bénédicte Schmitt. Elle appartient à la communauté des chanteurs, des mélodistes français. Julien Doré, avec qui elle avait chanté BB Baleine (sur l'album Bichon), lui donne Normandia, chanson magnifique traitant des "coeurs imbéciles". Julien Doré, poursuit-elle, est un mystère : "Il est très particulier, il a un univers, il ne ressemble à personne. J'apprécie beaucoup cela chez quelqu'un." Elle adore Sucrer les fraises de la Grande Sophie, déteste le rap, et ne pensait pas écrire de nouvel album après La Pluie sans parapluie publié en 2010.

 

"Comment vous êtes-vous remise au travail ?

 

- Rien n'a été prémédité. Pour le dernier album, j'avais eu la chance de trouver de très belles mélodies, mais il n'avait pas très bien marché ; 75 000 exemplaires - ce que la maison de disques trouvait très bien par rapport à la difficulté des temps et à mon statut. Je pensais que je ne trouverais plus d'aussi belles mélodies. Mais Thierry Stremler m'envoie une chanson, qu'il chantait de sa voix un peu aigre, avec un piano et un déluge de cordes. Ça m'a plu au-delà de tout ! Cela m'évoquait le XIXe siècle, l'ambiance des concertos pour piano de Rachmaninov. Donc, j'ai écrit cette histoire, "Serions-nous insensibles à l'amour impossible, à l'amour fou..." Même galvaudé, c'est un très bon titre, L'Amour fou."

 

Hardy ne sombre jamais : si elle brûle de ses excès, elle maintient cette distance kaléidoscopique qui lui octroie son élégance. Qu'elle s'interroge sur les maux du coeur (Pourquoi vous ?, composée par Calogero), ou qu'elle chante Victor Hugo (Si vous n'avez rien à me dire, mis en musique par Bertrand Pierre), elle joue avec le feu en se jouant des brûlures.

 

Monsieur X, héros du roman, un homme brillant, élégant, effarouché et cruel, qui lui échappe et la met à la torture, est un Saint Graal que rien n'empêche de poursuivre.

 

"Qui se cache derrière Monsieur X ? Jacques Dutronc ?

 

- Monsieur X emprunte aux uns et aux autres, ces hommes qui avaient le même profil, ou chez qui je provoquais les mêmes attitudes. Ce roman est, comme me l'a dit Denis Olivennes [directeur du Pôle information du groupe Lagardère], la matrice de mes textes. Mon éditeur, Stéphane Barsacq, qui m'avait convaincue de publier mon autobiographie, savait que j'avais ce texte dans mes tiroirs depuis une trentaine d'années. Je n'avais pas envie de le publier. Avec tous ces problèmes de santé, il y a des moments où je me sens tellement mal ! Il y a un an, j'ai pensé que j'allais passer de l'autre côté. Je me suis interrogée : que dois-je faire de cela, est-ce que je le jette ? Cela va embarrasser Thomas s'il tombe dessus... J'ai envoyé deux chapitres à Jean-Marie Perrier." Le photographe et ami a aimé, beaucoup.

 

Et puis, elle cherchait "une accroche supplémentaire pour l'album, sachant que je n'allais pas passer à l'Olympia, ni au Stade de France !" - la dernière fois qu'on l'a vue en scène, c'était en 1997, au Palais des sports, pour un duo avec Julien Clerc qui y fêtait ses 50 ans. "Il m'avait convaincue de chanter Mon ange, en disant : on ne te verra pas, on ne t'entendra pas."

 

Françoise Hardy chante toujours très bien, sans travailler sa voix. Elle est fière, avoue-t-elle, de cet album très homogène, "avec des mélodies pop-rock et d'autres plus lentes, accompagnées par de vraies cordes", celles du Macedonian Radio Symphonic Orchestra. Cinquante ans de sous-développement voulu par les régimes "d'extrême gauche" (communistes) auront eu pour vertu de rendre les prix accessibles.

 

Oui, elle fait toujours de l'astrologie. Elle parle, ouvre la fenêtre. Barack Obama est une belle âme, Copé et Moscovici sont deux moulins à paroles ; ni Jacques ni elle ne sont concernés par les fameux 75 % de prélèvements appliqués aux plus riches . "Oui, je me soucie. Le climat est anxiogène pour tout le monde. Nous sommes privilégiés, et les gens qui sont les plus à plaindre sont ceux qui perdent leur boulot".

 

Voir aussi : les vidéos de cinq chansons extraites de l'album L'Amour fou.

 

L'Amour fou, 1 CD, Virgin/EMI.

L'Amour fou, Albin Michel, 192 p., 16,50 €.

 

Sur le Web : www.francoise-hardy.com.

 

http://www.lemonde.fr/culture/article/2012/11/05/francoise-hardy-la-chanson…

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Sa franchise et son humour légendaires :wub: Elle peut raconter toutes les conneries qu'elle veut, je l'aimerai toujours.

J'ai survolé le nouvel album, moins pop que son prédécesseur, mais toujours très mélodieux. Un disque de plus à écouter les dimanches de novembre, comme les 3/4 de sa discographie.

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Quelqu'un à déjà écouté l'album ? J'aime bien le single, je vais l'écouter bientôt je pense ! J'espère qu'il sera aussi bon que le dernier ! :)

 

Les critiques sont dithyrambiques pour l'instant (surtout par rapport à la voix), mais il en va toujours ainsi depuis Le danger. De toute façon, cela fait presque pile 20 ans qu'elle sort des albums irréprochables (sauf Parenthèses, mais ça ne compte pas).

J'attends de pouvoir lire le joli livret ce soir pour l'écouter. 8)

 

Spencer : c'est fou comme elle ne change pas au fil des années (avec ses contradictions notamment). Dans une interview datant de fin 1980 (pour le trèèèès moyen Décalages probablement), elle disait que, rien qu'en se référant à l'astrologie, Mitterrand ne lui inspirait strictement rien. :mdr:

Elle est tellement brillante et adorable qu'effectivement, elle peut raconter n'importe quelle connerie que je l'aimerai quand même. Les interviews vidéo sont davantage plaisantes, au moins on l'entend rire une question sur deux.

 

Vivement qu'on la voie partout.

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