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Rose | 3 Eme Album | 1 Er Extrait Et Puis En Juin


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dommage, je n'étais pas au courant de ce showcase, j'y serais bien allé !

J'ai l'impression que sa voix est plus douce (et du coup peut-être moins typée). Adaptée à cette chanson, on conséquence d'une longue période de repos et de moins de clopes durant sa grossesse ?

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  • 7 mois après...
  • 2 semaines après...

C'est dans les bacs depuis hier, c'est joli. C'est du Rose. Aucune prétention, rien de surfait. Un peu plus de bonheur dans celui-là que dans les autres, mais on y retrouve quand même de la mélancolie, de la nostalgie des déceptions passées.

Si je lis les critiques, je suis assez d'accord : musicalement c'est prévisible, rien d'accrocheur, tout est propre, lisse. Mais là ou excelle Rose ce sont bien les paroles.

Une mention spéciale à l'émouvant "On dit" et "Aux éclats je ris".

Un album sans surprises, un peu à l'image des deux premiers, mais qui fait réellement du bien.

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"J'aime l'innocence du 1er album et l'obscurité du second. Et voilà le troisième, joyeux et douloureux, léger et grave".

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Une critique de l'album de Rose apparaissant sur le site music story

À l’heure où les nouveaux artistes défilent, Rose a pris le temps de créer un troisième album, quitte à se faire (un peu) oublier du public. Un disque fidèle à ses influences pop-folk, plutôt lumineux car témoin d’une nouvelle vie de mère heureuse mais pas exempt d’inquiétudes.

Rose se dévoile sans fard dans onze titres réussis. « Et puis juin », le premier extrait est très accrocheur, avec une pointe d’humour. « Entre deux aveux, un bonheur nauséeux » écrit l’artiste sur sa grossesse. Une chanson très réaliste qui devrait parler à toutes les concernées. Un thème que l’on retrouve dans « On dit », où elle s’adresse à son fils sur l’avenir du monde. Caractère entier, Rose s’en veut d’être trop excessive en amour dans « J’aime (pas) ».

Celle qui a chanté la rupture revient sur le jour où l’on accepte de fermer une porte amoureuse dans le joli « Mais ça va ». L’entraînant « Aux éclats, je ris » fait partie des titres marquants grâce à sa mélodie. Sans être révolutionnaire, l’écriture soignée de Rose touche par sa façon juste de raconter les petits maux et les grandes joies. La chanteuse analyse sa nouvelle vie sans accroc dans « Les Pieds dans le bonheur ». Elle reste vigilante sur ce doux euphorisant qui lui donne « presque » envie d’aimer les dimanches et lui fait « oublier d’être chiante ».

« Je me manque » composée avec Loane, avec qui Rose partage une certaine mélancolie, est l’un des titres intéressants de l’album, sur la difficulté d’être en phase avec soi-même. « Jamais Paris ne me laisse » est moins original malgré un exercice de style sur les quartiers de la capitale. L’album se referme sur « Comme si c’était demain », un titre qui s’étend grâce à une note jouée en boucle pendant 10 minutes. Demain dure longtemps, et c’est bien.

 

 

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