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Nobody Knows I'm New Wave   

45 membres ont voté

  1. 1. Parmi ces artistes, j'aime...

  2. 2. New Wave Revival?! Ok, j'aime...



Messages recommandés

Coup de projo sur:

 

3 albums-clefs de... The Cure

 

1. Pornography

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Paru en 1982, Pornography est le dernier opus de la 'Trilogie gothique' entamée par Seventeen Seconds ("A Forest") et Faith ("Primary", "All Cats Are Grey"), ou, selon les avis, le premier opus de la trilogie Pornography-Disintegration-Bloodflowers. Injecté de plusieurs classiques comme "One Hundred Years", "The Hanging Garden" ou "A Strange Day", Pornography est l'un des meilleurs albums du groupe, voire LE meilleur selon une large partie des fans.

 

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2. Kiss Me, Kiss Me, Kiss Me

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Si en France, il ne resterait qu'une chanson de Cure, ce serait certainement "Just Like Heaven": pop song intemporelle qui a servi de générique aux Enfants du Rock. Kiss Me, Kiss Me, Kiss Me (1987), même s'il n'oublie les aspects les plus dark du groupe ("The Snakepit", "Torture", "If Only Tonight We Could Sleep"), montre ce que le groupe sait faire de mieux en matière de pop ("Why Can't I Be You?", "Just Like Heaven", "Catch"). Ce long album (près de 80min.), union idéale entre les différentes tendances émotionnelles du groupe, est le premier vrai "succès" mondial du groupe et se fait alors une place dans le Billboard.

 

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3. Disintegration

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Disintegration est un sommet, peut-être même LE sommet. Adulé par les critiques ("un des meilleurs albums de tous les temps") et chaudement accueilli par le public (les éternels classiques des radios rock "Lullaby" et "Lovesong"), Disintegration montre l'aboutissement de l'identité Cure. On craignait un suicide commercial, on le trouvait trop sombre en comparaison avec les plus pop The Top, The Head on the Door et Kiss Me, Kiss Me, Kiss Me, l'album de 1989 fera pourtant entrer le groupe dans la légende.

En ce qui me concerne, c'est également mon préféré, et l'ouverture avec "Plainsong" est probablement la plus belle introduction d'album qu'il m'ait été donné d'entendre.

Fucking incontournable.

 

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Je n'aurais pas cité KM KM KM dans les incontournables personnellement : Seventeen seconds, Faith et Disintegration en ce qui me concerne. Bloodflowers pas loin derrière. C'est déprimant, parfois monotone, même si dans les deux derniers premiers la batterie fait très vieillotte (mais ça caractérise le vieux son de Cure).

Dans les lives, l'indispensable reste Paris. C'est très court (12 titres), pas toujours les meilleurs, mais c'est vraiment intense. Surtout "Play for today" qui est déjà un des plus beaux titres du groupe.

 

On se fait un topic The Cure ? :mrgreen:

 

Sinon un groupe que je suradore et qui n'a je crois pas été cité : Tears For Fears. Connu pour ses classiques "Sowing the seeds of love", "Mad world", "Everybody wants to rule the world" et surtout la bombasse "Shout". Aucune idée si le dernier album sorti il y a peu de temps vaut le coup, mais le passé de ce groupe m'a profondément marqué.

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On se fait un topic The Cure ? :mrgreen:

 

C'est une idée, mais le problème est que pas suffisamment de personnes, mis à part une petite poignée, pourront réagir sur ce groupe; mettre du temps dans la création d'un topic de qualité pour au final avoir une discussion restreinte, c'est quelque chose que je ne veux plus tenter personnellement; d'où le rassemblement de tous les artistes/groupes new-wave (extrêmement importants culturellement parlant, mais extrêmement peu connu de la populace CIFienne) sur ce topic.

 

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Je continue vite fait sur mes coups de projo...

 

3 albums new wave d'hier et d'aujourd'hui.

 

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Santigold - Master of My Make-Believe

 

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J’ai découvert Santigold (alors Santogold) au printemps 2008, à la radio (sur Pure FM), sur la route vers mon appart’ d’étudiant. C’était “Lights Out”. Ça m’a intrigué: j’ai ressenti nettement plusieurs influences (surtout celles qu’elle revendique d’ailleurs et qui lorgnent largement vers la new wave), mais présentées avec un certain équilibre, une certaine fraîcheur, une certaine originalité/authenticité: bref, tout ça était le bienvenu.

 

Trois ans ont passé… 2011: plutôt déçu par “Go!” (en duo avec Karen O des Yeah Yeah Yeahs)… Voilà 2012: plutôt déçu par “Big Mouth”; bien plus convaincu par “Disparate Youth”. Second album très attendu, forcément.

 

Ce qui m’a le plus marqué à la première écoute est les échos M.I.A.-esques extrêmement prononcés sur “Fame” et “Look at These Hoes”: bien plus prononcés que sur un “Shove It” et autre “Creator”, extraits de Santogold. Santigold, t’es aussi original que M.I.A.: t’as aucune raison de littéralement calquer ta soeur spirituelle! Mon second regret est de déplorer l’absence de morceaux implacables à la “Lights Out”, “I’m a Lady” ou “L.E.S. Artistes”. Passé ces petits (?) hic, Master of My Make-Believe est cependant un bon album: pas aussi frais que le (presque) éponyme, certes, mais truffés de moments très sympas: “Disparate Youth” reste pour moi un morceau phare (LE morceau phare?), j’ajoute “God from the Machine”, et aussi “This Isn’t Our Parade”, et encore “The Riots Gone”, et enfin “The Keepers”.

 

Avec Master of My Make-Believe, Santigold est moins Santogold: elle évolue dans une certaine contemplation d’elle-même, et se range parallèlement dans une catégorie plus facilement définissable, à côté de M.I.A. et consoeurs. Trente-cinq ans: mémoires du jeune fille rangée? Ok. Deuxième album: mémoires d’une jeune fille rangée? Déjà!?

 

 

 

 

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Roxy Music - Manifesto

 

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Depuis Siren (1975), quatre années se sont écoulées et le paysage musical s'est pas mal métamorphosé: le disco et le punk, styles ennemis initialement clandestins, sont au sommet et, l'histoire nous l'apprendra, également au bord du déclin. Quelle attitude alors adopter quand on est un groupe de glam rock et que l'on veut briser quatre années de silence discographique à ce moment-là, époque de tous les dangers? Même si certains considèrent le glam rock du début des seventies comme un genre annonçant le punk, ces gars au look étudié et arty de Roxy Music, déjà auteurs du clubby "Love Is the Drug", vont assez logiquement préférer la piste de danse aux garages. Les nouvelles théories esthétiques du groupe sont exposées dans Manifesto.

 

Entre Siren et Manifesto, Bryan Ferry, à la tête du groupe, s'est consacré à sa carrière solo. En quatre ans, Ferry a publié trois albums qui annoncent déjà la direction que prendra le groupe. Sorti à la fin de l'année 1978, The Bride Stripped Bare sonne comme du Manifesto avant l'heure.

 

L'opus s'ouvre sur la chanson-titre et sa longue et langoureuse intro conduite par une basse sensuelle. Tel un phœnix, la voix de Bryan prend son envol à la moitié de la chanson et elle annonce: "I am for a life around the corner/that takes you by surprise". Musicalement, le manifeste n'appelle à aucune révolution: il s'agit toujours de rock, mais un rock dansant, et moins fou que les premières productions du groupe. On est donc plus proche de "Love Is the Drug" que de "Re-Make/Re-Model".

Même si la bande à Ferry s'autorise quelques facilités fm ("Still Falls the Rain"), elle ne perd jamais complètement son identité comme en témoignent les voluptueux "Stronger Through the Years" et "Ain't That So" au charme arty et sophistiqué.

Tout aussi bons sont les plutôt célèbres "Angel Eyes" et "Dance Away" qui, bien que présents sur l'album dans leur version originale à l'esprit pop rock, perceront les charts britanniques dans une version remixée et disco.

 

Souvent la bête noire des puristes, Manifesto est pourtant un disque chaud, humide et suave qui, au final, regorge de très bons morceaux et qui n'est jamais aussi bon que quand il lorgne ouvertement sur le dancefloor.

 

(écrit sur XSilence)

 

 

 

 

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Prince - Dirty Mind

 

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En 1980, Prince ne le sait pas encore mais il entame une décennie dont il sera l'un des rois incontestés. Dirty Mind est son premier chef-d'œuvre. Sur For You (1978) et Prince (1979), le Kid se cherchait : il s'essayait au funk, à la soul, au rock, au R&B, au disco, et même au hard rock. En 1980, il s'est trouvé et crée son propre son où il a le génie de ne pas choisir mais plutôt de rassembler toutes ses influences avec brio. Ce mélange d'influences et ses synthés flamboyants confèrent au disque une nette couleur new-wave. Dirty Mind, écrit, composé, arrangé et enregistré par Prince lui-même, ne sera pas un succès commercial, mais bel et bien un succès critique. Aujourd'hui encore, le disque apparaît dans les classements sérieux établis notamment par Rolling Stone ou Pitchfork.

 

Le magnum opus s'ouvre sur la chanson titre "Dirty Mind" : excellent morceau pop qui dresse parfaitement le décor aussi bien musicalement qu'au niveau des paroles. Comme sur peu d'album de l'époque, les textes abordent la sexualité sans tabou : ce titre ne déroge pas à la régle. Le riff au clavier, très simple, créé par Dr. Fink annonce, lui, l'esthétique new wave dans laquelle il faut aborder le disque. Le second morceau, "When You Were Mine", est l'un des plus célèbres du disque alors qu'il n'a jamais bénéficié d'une sortie single. Souvent interprétée en live par Prince et reprise de nombreuses fois, notamment en 1982 par Cyndi Lauper qui en proposera une excellente version – elle aura l'élégance de ne pas changer le sexe des paroles (« I know, that you're goin' with another guy ») –, la chanson est aussi l'une des meilleures de l'album. L'association minimaliste du synthé et de la guitare est du meilleur effet. De tout l'album, c'est la chanson la plus rock, et si ce n'est pas pour l'instrumental new wave, c'est clairement pour l'esprit qui anime ce morceau. "Do It All Night", le premier single en Angleterre, succède au joyau "When You Were Mine". Comme son prédécesseur, il contient un solo de synthé. Quant au pronom "it" dans le titre de la chanson, je n'ai, chers coquins de lecteurs, pas besoin de vous expliquer ce qu'il remplace. La face A se referme sur "Gotta Broken Heart Again", une courte et sympathique ballade R&B/soul mid-tempo.

 

On retourne le disque, et c'est le premier single aux US qui nous accueille : "Uptown". Bien qu'il s'agisse d'un dance/funk minimaliste très efficace et qui soit décrit comme le point fort de l'album, il est étonnant de remarquer que ce morceau n'a pas réussi à passer à la postérité, d'ailleurs Prince l'interprètera rarement en live. Dans cette chanson, il décrit un monde parfait où tout le monde serait libre de s'exprimer indépendamment de son sexe, de sa couleur de peau ou de son orientation sexuelle. Parfaitement enchaîné à "Uptown", "Head" débarque ensuite. Il s'agit d'un coup de coeur personnel. Morceau aux accents post-disco, il est une funky ode à la fellation. Au milieu du titre, Dr. Fink exécute un excellent solo de synthé de près d'une minute : un des meilleurs moments de l'album. La courte "Sister", avant-dernier morceau de l'album, a de nets accents rock'n'roll. Si le thème de fellation était déjà choquant pour l'époque, Prince réservait d'autres surprises puisqu'il est clairement question d'inceste ici et il nous gratifie des détails sordides. Le sulfureux Dirty Mind s'achève sur "Partyup", une chanson écrite en collaboration avec Morris Day, le leader du groupe The Time que l'on retrouvera sur la bande originale du Graffiti Bridge du Kid en 1989. Typiquement dans la veine de "Uptown", ce morceau est un jam dance/funk minimaliste. Il termine l'album de façon explosive.

 

Prince n'a que 22 ans à l'époque et fait preuve d'une maturité artistique incroyable, et si l'on compare Prince (1979), dans lequel il semblait imiter ces idôles et ce qui marchait à la radio plus qu'il ne s'affirmait, sur Dirty Mind (1980), en plus de s'affirmer, il balance au monde un disque visionnaire dont le rayonnement et l'influence seront époustouflantes.

 

(écrit sur le topic Prince)

 

 

 

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Oh mon dieu, Rebecca, tu as parlé de Dirty Mind ! :mf_w00t2:

 

Cet album figure à la 2ème place de mon top princier, juste derrière The Rainbow Children. Cet album est magique et est véritablement le premier chef d'œuvre du nain violet. Je n'ai pas vraiment de titre préféré sur cet album, l'album est un tout qui s'écoute en une fois, et non pas titre par titre. Les versions lives de ces titres sont exceptionnelles : notamment celle du bootleg Dortmund 88 (mais il y en a beaucoup d'autres).

 

C'est, parmi d'autres, avec cet album que Prince est devenu mon idole… je ne m'en suis jamais lassé.

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HuMMM... Ce que j'aime ce topic .. Surtout quand Rebecca s'y colle avec une telle détermination !! Je vais découvrir tous ces petits sons avec plaisir (Santigold) ^^. J'ai 3 albums fantastiques de cette période à vous conseiller aussi, ainsi qu'une multitude de singles oubliés que je répertorierai plus tard ....

 

 

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http://www.youtube.com/watch?v=KNkhGo2Ov3o

Merci pour ce topic....

Je commence doucement à me tourner vers ce courant musical. Mais je manque encore de connaissances.

 

Dans la "new new wave" je rajouterais White Lies que j'ai vu 2 fois en live (à Muse au Stade de France et à Musilac) et que je lâche plus depuis.

D'ailleurs... des conseils sur des groupes un peu similaires ? Voix masculine "forte" qui envoie, univers sombre et ambiance "outre-tombe" ??

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@ Romeo: j'ai écouté les trois albums proposés (en partie pour Annabel + sa reprise assez intrigante de "Riders on the Storm"). J'ai assez apprécié The Sound, j'ai pensé à Magazine en écoutant l'album: autre groupe phare du mouv' post-punk/new wave.

 

Dans la "new new wave" je rajouterais White Lies que j'ai vu 2 fois en live (à Muse au Stade de France et à Musilac) et que je lâche plus depuis.

D'ailleurs... des conseils sur des groupes un peu similaires ? Voix masculine "forte" qui envoie, univers sombre et ambiance "outre-tombe" ??

 

Comme ça, je pense à Echo & the Bunnymen (dernier album en 2009, The Fountain; quelques albums phares de la new-wave comme Porcupine et Ocean Rain dans les 80s), à Interpol aussi, à Joy Division, à She Wants Revenge (dernier album en 2011, Valleyheart).

Pour l'ambiance "outre-tombe", Disintegration de Cure (j'en reviens à lui) me semble être particulièrement adapté.

 

D'autres propositions? Gbg? Butterfly Wings? Romeo? ...

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@ Romeo: j'ai écouté les trois albums proposés (en partie pour Annabel + sa reprise assez intrigante de "Riders on the Storm"). J'ai assez apprécié The Sound, j'ai pensé à Magazine en écoutant l'album: autre groupe phare du mouv' post-punk/new wave.

 

 

 

Comme ça, je pense à Echo & the Bunnymen (dernier album en 2009, The Fountain; quelques albums phares de la new-wave comme Porcupine et Ocean Rain dans les 80s), à Interpol aussi, à Joy Division, à She Wants Revenge (dernier album en 2011, Valleyheart).

Pour l'ambiance "outre-tombe", Disintegration de Cure (j'en reviens à lui) me semble être particulièrement adapté.

 

D'autres propositions? Gbg? Butterfly Wings? Romeo? ...

 

Merci pour les conseils (je connais Interpol et Joy Division, et effectivement c'est bien dans ce qui me plait).

Je vais écouter les autres... Merci en tout cas, tes connaissances sont impressionnantes et c'est un plaisir à lire !

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Pour Echo & The Bunnymen tape dans les vieux par contre, depuis le milieu des années 90 c'est devenu abominable comme groupe.

Je te conseille And Also The Trees (n'importe quel album, y a que des chefs-d'oeuvre), Frustration (groupe français actuel qui reprend assez le style de Joy Division).

Dans un autre genre (beaucoup de réverb), il y a aussi les deux premiers albums de Jesus & Mary Chain. Indispensables. A Place To Bury Strangers qui est un plagiat total sonne bien aussi.

 

Après il y en a beaucoup... Swans, Rome, Death In June, Norma Loy... Le choix est large.

 

Et puis comme l'a cité Rebecca, Disintegration de Cure. C'est véritablement impossible de comprendre et aimer la new wave si l'on ne s'est jamais plongé dans un bon cru de The Cure !

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Pour ce qui est "new new wave", je rajouterais aussi Editors. Si j'ai d'autres idées, je viendrais en faire profiter tout le monde.

 

http://www.youtube.com/watch?v=ZcmZC8hV0mo

 

J'avais été très déçu par White Lies à Musilac : le son était tellement pourri qu'il m'a été impossible d'apprécier le reste. Pourtant, j'adore leur premier album !!

 

Sinon, je suis récemment tomber sous le charme de Get Ready de New Order. Vous me conseillez quoi pour continuer ?

 

Enfin, je pense qu'un petit mot sur U2 dans ce topic ne serait pas de trop. Au début de leur carrière, le groupe a quand même eu quelques influences new-wave, en particulier dans la façon de chanter de Bono, comme en témoigne cette petite sélection réalisée par mes soins :

 

http://www.youtube.com/watch?v=uIuAFBRyjj4

http://www.youtube.com/watch?v=2GyTdo1nGO0

http://www.youtube.com/watch?v=EXqtRI9pGkc

http://www.youtube.com/watch?v=0gbmRSDTU0c

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Si tu aimes Get ready tu aimeras celui qui est sorti juste après (et qui est le dernier). Le reste n'a rien à voir... c'est pop, kitsch, et parfois dance. Le premier album était très bon puisque marqué par Joy Division, mais alors après... un désastre !

Mais tu aimeras peut-être les autres groupes des membres de New Order comme Bad Lieutenant, même s'il y a un côté très pop rock.

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Si tu aimes Get ready tu aimeras celui qui est sorti juste après (et qui est le dernier). Le reste n'a rien à voir... c'est pop, kitsch, et parfois dance. Le premier album était très bon puisque marqué par Joy Division, mais alors après... un désastre !

Mais tu aimeras peut-être les autres groupes des membres de New Order comme Bad Lieutenant, même s'il y a un côté très pop rock.

D'accord, merci, j'irais écouter tout ça !!

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  • 2 semaines après...

J'y pense, en New Wave moderne .. Je suis tombé sur Flying Turns. Ce morceau fait très Joy Division (le clip aide aussi), mixé avec Depeche Mode mais très moderne pour autant. Il est produit par le gars qui monte en electro, le français Gesaffelstein, lui même influencé par la new wave autant que Kraftwerk, à'linstart de ses amis Miss Kittin & The Hacker.

 

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