jeudi 09 décembre 2010 10 :00
![]() "Dracula" dévoile son premier clip : "1, 2, 3"
Kamel Ouali lancera sa nouvelle comédie musicale, "Dracula", le 30 septembre 2011 au Palais des Sports de Paris. "1, 2, 3" est le premier single du spectacle, écrit et composé par la chanteuse Jennifer Ayache du groupe Superbus et interprété par Anaïs Delva. Découvrez le clip !
Après les succès du "Roi Soleil" et de "Cléopâtre", Kamel Ouali dévoilera à partir du 30 septembre 2011 au Palais des Sports de Paris, sa troisième et nouvelle comédie musicale : "Dracula" (dont les locations sont d'ors et déjà ouvertes). Sur des chansons originales, le spectacle mettra en avant l’histoire de l’amour impossible de Dracula, en quête d’un idéal, tiraillé entre passion et raison. Tout en s’appuyant sur la personnalité complexe du héros de Bram Stoker, à la fois énigmatique et mélancolique, Kamel Ouali présentera dans ce show un vampire troublant mais attachant, au destin solitaire, brave et sensible, loin d’une créature terrible et sanguinaire.
"1, 2, 3", le premier single de ce nouveau spectacle musical, a été dévoilé par Virgin Radio, partenaire de l'évènement. Ecrit et composé par Jennifer Ayache du groupe Superbus (dont on reconnait bien le style), ce morceau est interprété par Anaïs Delva qui joue le rôle de Lucie. Découvrez le clip ! ![]() ![]() Golan Yosef sera le Dracula de Kamel Ouali![]() Produit par Warner Music France, l’album du spectacle musical "Dracula" sera en vente le 18 avril 2011. Jennifer Ayache mais aussi Lionel Florence, Patrice Guirao, Philippe Uminski et Volodia, seront parmi le crédit des auteurs et des compositeurs de ce disque. Kamel Ouali promet de rester fidèle à sa conception du grand spectacle musical et d’innover par un travail sur les images et les lumières encore jamais proposé à ce jour, pour surprendre, et même renouveler le genre. «Les danseurs porteront des capteurs qui leur permettront d'être intégrés à des images projetées sur un écran. En mettant des lunettes spéciales, les spectateurs seront plongés dans des effets en relief et ne feront plus la différence entre le réel et le virtuel» confie-t-il à nos confrères du "Parisien". ![]() Thierry CADET
![]() ![]() ![]() |