lundi 09 juin 2008 12:00

Merwan Rim en interview

Après un duo avec Marilou, une série de concerts et ses premières parties de Jenifer, Merwan Rim qui fut également pendant trois ans le Duc de Beaufort dans le spectacle musical "Le Roi Soleil", a répondu à nos questions.
Bonjour Merwan, que retiens-tu de ton passage par les célèbres Studios d’Alice Dona (Nikolas Lenoir, journaliste) ?
Je n’en retiens que du bon. En fait, j’ai en quelque sorte tout envoyé en l’air pour faire ce métier. J’ai même arrêté la fac en le cachant à ma mère et j’ai commencé à bosser sur différents projets tout en faisant des petits jobs à côté. J’ai vraiment eu envie de faire de la musique sérieusement. J’étais très attiré par le fait de pouvoir faire de la musique et en même temps, de pouvoir participer à des cours de théâtre. Je ne connaissais pas d’autres écoles qui le faisaient, et de plus ce que proposait Alice Dona me correspondait tout à fait. J’ai tenté les auditions en me disant que je n’avais rien à perdre et finalement, cela s’est très bien passé. J’y ai rencontré des personnes extraordinaires, qui m’ont tendu la main et qui m’ont fait confiance. Cette expérience a été formidable au-delà même de la musique.

Penses-tu que tu aurais commencé ta carrière de la même façon si tu n’étais pas passé par les Studios Alice Dona ?
Si je n'étais pas passé par cette étape, je ne sais pas où je serais aujourd’hui. Je ferais peut-être de la musique, peut-être pas, mais en tout cas ce fut extraordinaire. En plus, j’y suis resté neuf mois. C’est un peu comme un enfant qui est dans le ventre de sa mère avant la naissance. Ce fut étrangement le même processus. J’ai ensuite décroché mon premier vrai contrat dans la musique et j’ai fait ma route. C’est d’ailleurs dommage que cette école n’existe plus actuellement...

C’est ainsi en sortant de cette école que tu intègres le spectacle musical, "Les dix commandements". Comment as-tu été repéré ?
C’est justement Alice Dona, qui était aussi professeur dans son école, qui m’a envoyé à cette audition. Beaucoup de monde était recherché pour la troupe des "Dix commandements", et plusieurs élèves ont été envoyés. L’équipe du spectacle cherchait une troupe B pour les doublures, et notamment sept chanteurs. Plus de 3 000 personnes ont envoyé leurs démos pour cette audition. J’étais dans le lot des 700 ou 800 personnes qui avaient été invitées à passer le casting. J’ai eu la chance d’être choisi pour être l’un des sept chanteurs recherchés. J’avais un CV un peu vierge professionnellement, mis à part le fait d’être passé par les Studios Alice Dona, donc c’était extraordinaire pour moi. Pascal Obispo, Lionel Florence, Patrice Guirao, Élie Chouraqui, Dove Attia, Kamel Ouali et Albert Cohen m’ont fait confiance. J’avais à peine 22 ans et je devais pouvoir remplacer Ahmed Mouici qui était Ramsès, l’un des rôles les plus forts du spectacle.

Étais-tu à la base attiré par ce genre de comédies musicales, ou est-ce quelque chose que tu as découvert ?
C’est étrange car un an avant, presque jour pour jour, j’avais vu ce spectacle. Je l’ai en effet vu le 4 octobre 2000, et le 7 octobre 2001, je faisais ma première officielle dans le rôle de Ramsès. J’avais trouvé le spectacle extraordinaire et j’avais été très impressionné. Je rêvais secrètement de participer au moins une fois dans ma vie à une telle comédie musicale. Et un an après, je me retrouve dans la même équipe que Daniel Lévi, Pablo Villafranca, Ginie Line, Yael Naïm… Ma première était à l’occasion d’une générale presse organisée par NRJ devant 4 500 personnes. Ahmed Mouici m’avait dit que ce serait moi qui jouerais, et je lui avais dit que je n’étais pas encore prêt, que je voulais encore répété de mon côté. Il m’avait alors répondu qu’il m’avait vu répéter et qu’il savait que j’étais prêt. J’y suis donc allé et ça s’est très passé. C’est une des plus belles expériences de ma vie.

Pendant combien de temps as-tu joué ce spectacle ?
Je l’ai fait officiellement pendant deux ans. Puis quelques mois après en Asie et au Canada. J’ai joué le rôle de Ramsès une bonne soixantaine de fois. Quand je n’interprétais pas ce rôle, j’étais choriste sur scène, je participais à des scènes…

Tu intègres ensuite un autre spectacle musical en collaborant une nouvelle fois avec Élie Chouraqui sur "Gladiateur". En tant que quoi as-tu participé à cette aventure ?
J’étais une nouvelle fois choriste et doublure. J’ai notamment été choriste pendant trois mois, puis le spectacle s’est arrêté le 31 décembre 2004. Le 5 janvier 2005, je rentrais en studio avec la troupe du "Roi Soleil" pour enregistrer l’album. J’ai vraiment enchaîné rapidement.

Qu’est ce qui t’as fait accepter ce nouveau projet ?
Il se trouve que j’avais pas mal d’amis qui travaillaient sur ce spectacle et notamment sur la partie artistique. Cela me rassurait dans le sens où je savais que ce serait un spectacle de qualité. J’ai ainsi eu envie de passer les auditions mais assez tardivement en fait. Je me disais que j’avais été choriste-doublure sur deux spectacles et donc que ce serait vraiment bien que je sois l’un des premiers rôles sur un autre. Les auditions ont duré environ deux mois, et ensuite tout s’est enchaîné rapidement. Ils m’ont proposé le rôle et j’étais très heureux de tourner une page car j’accédais à un rôle plus important. Je suis vraiment passé par toutes les étapes.

Quel regard portes-tu avec le recul sur le succès du "Roi Soleil" ?
Je ne m’attendais pas du tout à ce que cela se passe de cette façon. Pour moi, c’était un spectacle de qualité avec de belles chansons. J’espérais que l’on rencontre le public mais de là à ce que ça se passe vraiment, j’étais loin d’imaginer tout ça ! On a réalisé des scores incroyables ! De plus, avec tout ce qui s’était passé dans le milieu du spectacle musical en France, ce n’était pas évident, personne n’aurait parié autant sur nous.

Comment l’as-tu personnellement vécu ce succès ?
Je l’ai vécu différemment des autres en fait. J’avais connu les deux extrêmes. J’ai participé aux "Dix commandements" où j’étais choriste et doublure et donc quand les gens venaient, ils ne s’attendaient pas à ce que je sois sur scène, parce que c'est Ahmed Mouici qui tenait le rôle. J’ai donc appris à relativiser. J’ai ensuite participé à un spectacle qui n’a pas rencontré le public alors que l’on s’était aussi investi à fond dans le projet, ce fut "Gladiateur". Alors en commençant le "Roi Soleil", j’avais vraiment la tête froide ! (rires) Je ne me faisais pas d’illusions, je me disais que l’on allait défendre à fond le spectacle et adviendra ce qu’il adviendra. Et quand le succès est arrivé, j’étais surpris et en même temps très heureux, très fier d’y participer tout en relativisant toujours beaucoup. J’ai vraiment vécu ce qu’il y avait de bon à vivre car ce genre d’aventure, c’est un temps et ensuite, ça s’arrête. Je savais que le spectacle allait prendre fin, et que j’aurai ensuite des envies différentes.

As-tu connu des soirs difficiles sur scène ?
Il n’y a pas un moment où je me suis assoupi. Le spectacle a été joué 420 fois et je l’ai fait 412 fois. Il n’y a donc que huit fois où j’étais absent et non pas parce que j’étais malade mais parce qu’il y avait des choses très urgentes à côté ou parce que la famille de celui qui me doublait venait à Paris à ce moment là. Christophe Maé, Cathialine Andria et moi étions assez indémontables sur le spectacle (rires) ! Je ne considère rien comme acquis et je considère qu’il faut respecter le public, lui donner le spectacle qu’il a envie de voir donc même une laryngite, de la fièvre... je montais sur scène. Je n’étais peut-être pas terrible par moment mais j’allais toujours chercher l’énergie pour assurer. C’est juste extraordinaire de jouer devant 5 000 personnes. Je considère être un privilégié de faire ce métier et je le fais par passion. Qu’il y ait 40 personnes ou 4000 personnes dans la salle, j’y vais de la même manière, je fais mon truc et je m’éclate.

Question qui va certainement te surprendre, quels points communs partagent Merwan Rim et le Duc de Beaufort ?
Je m’habille déjà beaucoup en noir comme lui. Je crois qu’ils se sont inspirés de moi pour les costumes d’ailleurs (rires) ! J’ai énormément mis du mien dans le rôle, mais il est vrai aussi que ce dernier me permettait d’exagérer certains traits comme le côté chevaleresque, romantique… Je pouvais le pousser à l’extrême car il fallait que ce soit comme ça. J’ai aussi un côté un peu grande gueule, ce qui fait que pour ce rôle, je n’ai pas eu tant que ça à composer. Je me suis juste imaginé dans certains cas et comme on me disait qu’il fallait aller dans cette direction, je l’ai fait. Je n’avais pas un rôle extravagant comme Christophe Maé qui avait un rôle où il fallait qu’il en use et en abuse. Parfois, on se disait que ce serait bien d’inverser nos rôles juste pour le délire. Il devait être un personnage très exubérant sur scène et il est vrai que certains soirs où tout ne va pas super bien, où on a pas forcément envie de sourire dans des extrêmes, il faut le faire quand même. Il me disait d’ailleurs qu’il aurait aimé de temps en temps être dans mon rôle, dans la sobriété, alors que moi, j’aurais aimé parfois pouvoir péter les plombs (rires) !

As-tu gardé des contacts avec tes camarades de tournée ?
Je suis toujours en contact avec mes potes du spectacle. Avec la troupe des chanteurs, on a vécu pendant trois ans cette aventure et avec les danseurs, les techniciens, toute l’équipe, ce fut deux ans sur scène. Les liens se sont créés et nous avons vraiment noué de vrais contacts. C’est vrai qu’on ne peut pas être amis avec tout le monde, mais quand il y a une vraie base de personnes avec qui on s’entend particulièrement bien, quoiqu’il arrive, c’est à vie. Ce que l’on a vécu était tellement extraordinaire qu’en fait, ces émotions nous appartiennent. Peu de personnes savent ce que nous, nous avons vraiment vécu de l’intérieur. Cela nous a vraiment soudé et on le garde en nous pour toujours.

Tu parlais justement de Christophe Maé tout à l’heure, quel regard portes-tu sur son succès ?
Je connais Christophe depuis l’époque où l’on faisait nos premières auditions. Nous étions passés l’un après l’autre et nous étions les seuls à être venus avec notre guitare. On a tout de suite sympathisé. C’est extraordinaire ce qui lui arrive et il en est conscient. Christophe et moi partagions la même loge au Palais des Sports et sur la tournée. Nous avions là encore nos guitares et on écrivait dans la loge. Je le voyais faire et il me demandait mon avis. J’ai ainsi découvert la plupart des titres de son album "Mon paradis" à l’état d’ébauches, en guitare-voix. C’était intéressant car je l’ai vraiment vu faire les choses progressivement. Il ne s’attendait pas à ce que ça se passe ainsi. Il espérait qu’il ait assez de reconnaissance du public pour que son album se vende, que cela lui permette d’en faire un deuxième avec la maison de disques et que cela lui donne aussi l’occasion de faire une tournée dans des petites salles. Il ne s’attendait pas à ce qui s’est passé. Il fait Bercy, l’Olympia, des Zéniths. C’est un gars qui a tellement de mérite par rapport à ça, je l’ai beaucoup vu travaillé donc pour moi, c’est normal, il mérite son succès.

On t’a aussi découvert en duo avec Marilou Bourdon sur le titre "Danser sur la Lune" (Top 11 en 2007). Comment s’est passée cette collaboration ?
En fait, c’est Pascal Obispo qui m’a contacté en me proposant de rencontrer la directrice du label Columbia et Marilou, car elles recherchaient un chanteur français pour faire un duo. Je les ai ainsi rencontrées et cela s’est fait naturellement. J’ai choisi les deux chansons sur lesquelles j’ai fait les duos. Il s’agit donc de "Danser sur la Lune" pour la version française, et "C’était écrit" pour la version canadienne.

Que proposes-tu au public dans tes concerts en solo ?
Je chante des chansons qui seront sur mon premier album et je fais quelques reprises que j’affectionne particulièrement. Je fais également "Danser sur la Lune" et il y a aussi "Entre ciel et Terre", car je sais que le public l’attend. C’est une version différente de l’original du "Roi Soleil". En ce qui concerne mes compositions, ça avance. J’avais vraiment envie de jouer sur scène avant de rentrer en studio pour faire l’album. J’ai besoin de tester les chansons en public. C’est mon métier, c’est ce que j’aime donc pour moi, c’était nécessaire. J’aime jouer devant les gens. Je préfère jouer sans attendre que l’album soit sorti et ainsi aller à la rencontre du public, et j’en suis super heureux.

Le fait de te retrouver sans une troupe sur les routes, est-il quelque chose que tu appréhendes ?
Je ne suis pas tout seul, je suis avec des amis, avec des artistes différents et c’est aussi ça pour moi, partir sur les routes à la rencontre du public.

Tu as fait des premières parties de Jenifer, au Zénith de Paris notamment. Comment s’est passée cette rencontre ?
Je l’ai rencontré sur le spectacle des Enfoirés. Christophe Maé m’a dit qu’elle me cherchait car elle voulait me proposer un truc. Je l’ai ainsi rencontrée et elle m’a dit qu’elle aimait ce que je faisait. Elle avait écouté des chansons, des démos, elle m’avait également vu sur le Net dans des vidéos et elle avait adoré. Elle préparait sa tournée et m’a proposé tout naturellement de l’accompagner sur quelques dates. J’étais surpris car toutes ses dates étaient bookées, mais elle tenait vraiment à ce que je monte sur scène. C’est vraiment sympa car je ne suis pas dans la même maison de disques qu’elle. Un grand merci à elle car elle a une vraie gentillesse, et une manière très spontanée de voir les choses.

Tu as également une première partie pour tes concerts. Peux-tu nous parler de Pascal Danaé ?
C’est un mec qui a énormément de talent. Je l’avais déjà vu en concert et j’ai découvert son album par hasard en fait, en allant dans un grand magasin de disques à Paris. Son album était en écoute et son visage me disait quelque chose. Je l’ai écouté au casque et dès les trente premières secondes, j’ai su que c’était génial. J’ai acheté l’album et j’ai passé toute la nuit à l’écouter. Je l’ai ensuite contacté en lui disant que j’adorais ce qu’il faisait, que je préparais mes concerts et que je serais très heureux qu’il vienne faire mes premières parties. Il est très talentueux, il joue très bien de la guitare, il écrit, il compose, et humainement c’est une perle. J’ai beaucoup de respect pour lui.

Que retiens-tu de tes premiers concerts solos ?
Je suis assez étonné car je ne m’attendais pas à un tel accueil. Nous avons fait des dates complètes alors que je suis arrivé sans album dans les bacs. Il s’agissait de concerts-tests pour voir comment le public allait réagir. J’ai également été surpris de voir que beaucoup de personnes connaissaient déjà les paroles des chansons que j’ai chantées sur scène. Je suis très heureux que le public soit présent et cela est tellement agréable, ça me donne une énergie qui me booste vraiment beaucoup.

Comment as-tu vécu la transition entre le "Roi Soleil" et le début de ta carrière solo ?
Je l’ai vécu sereinement. C’est une vraie coupure par rapport à ce que j’avais vécu depuis trois ans avec la troupe. Je m’y attendais et je m’y préparais. J’étais content d’avoir vécu cette aventure et cela fait partie de la vie, on passe d’une expérience à une autre (sourire). Les expériences vécues avec les autres spectacles m’ont aussi permis de faire attention au fait que l’on peut facilement tomber dans un stade de déprime. Je suis maintenant content de faire ce que j’ai dans la tête depuis une dizaine d’années et je le vis bien en fait.

Peux-tu nous parler de l’album que tu prépares actuellement ?
Je compose presque tous les titres, soit seul ou avec un ami. Pour les textes, j’en signe deux ou trois, et les autres sont écrits par des personnes avec lesquelles je travaille. Il y aura ainsi Patrice Guirao, un texte de Lionel Florence, mais aussi de Skye et Pascal Danaé, dont nous parlions tout à l’heure. Skye est une fille très talentueuse, elle a sorti un très bel album et elle est aussi la guitariste de Christophe Willem. Pour les thèmes, je vais prendre des thèmes assez universels, tout en les traitant de manière personnelle. La couleur musicale ne sera pas vraiment la même chose que ce que le public voit en concert. Il y aura de l’électro, des cordes, de la pop, de la folk, de la soul : tout cela est un sacré cocktail qui me définit bien ! J’ai des goûts musicaux très éclectiques, et cela m’a forgé également. J’ai une culture musicale très large qui va de la variété française en passant par la pop, les musiques arabo-andalouses, asiatiques, mexicaines, d’Afrique noire… et ce sont toutes ces composantes qui font mon univers.

A quelle période penses-tu sortir ton album ?
Je pense qu’il sortira fin septembre. Il y aura entre temps d’autres concerts et certainement d’autres premières parties.

Il semble que "Le Roi Soleil" pourrait remonter sur scène d’ici deux à trois ans... serais-tu intéressé ?
Je ne suis absolument pas au courant en fait... J’avais entendu que le spectacle partirait certainement en tournée en Asie mais qu'il se remonte en France, je serais surpris. De mon côté, ça me ferait plaisir de le revivre avec mes potes mais en même temps, je ne sais pas vraiment car j’ai décidé de tourner la page avec ce que j’ai pu faire dans des spectacles musicaux. J’ai enfin l’opportunité de faire ce que je veux depuis très longtemps... je suis donc partagé. Je n’ai pas nécessairement l’envie de revenir sur ce que j’ai vécu dans ces spectacles et en particulier "Le Roi Soleil". J’ai peut-être également le besoin de garder ces moments et ces expériences intacts dans mon esprit. Ce qui me motive aujourd’hui est de faire ce que je prépare, mon album et mes concerts. Je ne renie rien, mais c’est juste que mes envies sont ailleurs.

Quels sont les artistes que tu écoutes actuellement ?
Je reconnais qu’il y en a pas mal. J’écoute notamment le premier album de Kenna qui a pour titre "Make Sure They See My Face", et qui est produit par Pharrell Williams et Chad Hugo. C’est aussi un disque qui me touche beaucoup car j’y détecte plusieurs de mes influences musicales. J’écoute aussi le groupe M83 que je suis d’ailleurs allé voir en concert à Paris. C’est un groupe français qui ne chante qu’en anglais. C’est très électronique, voir même New Wave... ils sont impressionnants. Du côté français, je suis allé voir Louis en concert au Trabendo, son album est juste excellent.

Quel message aimerais-tu transmettre à ton public et aux internautes ?
J’espère tout d’abord qu’ils vont bien et qu’ils profitent de la vie. J’espère aussi qu’ils sortent, qu’ils profitent du soleil, qu’ils vont voir des concerts, et moi je leur promets d’en faire un maximum dans peu de temps (sourire) !

Merci beaucoup Merwan pour ta gentillesse.
Merci beaucoup à toi, et merci également pour l’intérêt que tu portes à ce que je fais.

Pour en savoir plus, visitez son MySpace officiel.
Redécouvrez le clip de son single avec Marilou, "Danser sur la Lune" (2007) :
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