Crédits photo : Yann Orhan
Au pied du sapin cette année, les fans de Yodelice pourraient trouver une place de concert. Annoncé in extremis avant les fêtes, le concert supplémentaire du chanteur dans la capitale pourrait rapidement être annoncé complet. En effet, les trois premières représentations prévues à La Cigale du 20 au 22 janvier 2014 ayant été sold out en quelques semaines, on imagine que le show nouvellement annoncé au Zénith de Paris le sera également très prochainement. Il s'agira du premier concert du chanteur français dans cette grande salle.

"Mon seul souci réel, c'est de garder une liberté artistique"

Cette nouvelle date clôturera une importante tournée qui traversera l'Hexagone cet hiver. Le tour de chant de Yodelice démarrera le 9 janvier à Toulouse avant une première escale à Clermont-Ferrand le 10, puis à Lyon le 11. Des dates sont programmées jusqu'au mois de mars avant une longue pause qui pourrait permettre à l'artiste de participer aux Festivals d'été, un cadre qui conviendra tout à fait au caractère épique de son nouvel album "Square Eyes", en bacs depuis le 21 octobre.

Un succès qui rend heureux l'interprète de "Fade Away" ! « Mon plus grand bonheur, c’est qu’on a ouvert une trentaine de dates partout en France et que beaucoup sont déjà complètes. On ouvre une troisième Cigale à Paris au bout de trois semaines. Tout ça, c’est le fruit de quatre longues années de travail » a-t-il confié à Pure Charts en évoquant la longue maturation nécessaire à la confection de ses nouveaux morceaux. "Square Eyes" détonne dans sa discographie, avec des titres plus produits, comme "Haystack" et "Time", qui introduisent des ponts psychédéliques joués au synthé. Mais on retrouve aussi l'empreinte rock de Maxim Nucci sur des titres plus épurés et faisant la part belle à la guitare, comme le nouveau single "Familiar Fire", présenté aux radios la semaine dernière. Pour l'heure, "Square Eyes" a séduit 20.000 Français. Mais, loin de se demander combien de disques il vendra, Yodelice a comme « seul souci réel » de « conserver une liberté artistique ».