Sorti fin mars, le premier album de Tal, "Le droit de rêver", s'est déjà écoulé à 20.00 unités, stationnant aux portes du top ten des ventes de disques en France. Ne faiblissant pas, la chanteuse pleine d'espoir a déjà porté son premier essai par trois titres qui ont chacun à leur tour connu leur heure de gloire. "On avance" donnait la tonalité : une vidéo mise en ligne sur la Toile qui a créé le buzz l'été dernier. C'est ensuite un duo avec Sean Paul qui a permis à l'artiste de se faire remarquer du grand public :"Waya Waya" a régulièrement été joué en radio et son clip dansant figurait parmi les vidéos les plus diffusées sur les chaines de télévision musicales cet hiver. Mais c'est avec la chanson "Le sens de la vie" que Tal s'est véritablement révélé. Le titre est rapidement devenu un tube et figure parmi les plus téléchargés dans les charts hebdomadaires.

Et pourtant, l'artiste envisage déjà la suite et propose même aux radios un quatrième extrait de son album. C'est la ballade "Je prends le large" qui a été retenue, un appel à prendre un nouveau départ. Un message optimiste évoqué par Tal lors de notre rencontre au mois de mars : « Mon album est ponctué de messages pour faire du bien à des gens pessimistes et qui baissent les bras. Dans "On avance", quand je parle de ma génération, je parle de personnes qui sont perdues, qui ne savent pas quoi faire. Je leur dis qu'il faut garder de l'espoir pour aller mieux. Pour moi, la musique c'est aussi une manière d'apporter du réconfort à ceux qui en ont besoin. » avait-elle déclaré.

Ecoutez le nouveau single de Tal, "Je prends le large" :


Comme un rêve qui se réalise pour la jeune artiste, devenue une star de la chanson en l'espace de quelques mois. Mais le plus grand rêve de Tal, même s'il lui semble impossible à concrétiser, c'est d'enregistrer un duo avec Stevie Winder : « Je l'ai en rêve dans ma tête, alors pourquoi pas. La vie nous réserve tellement de surprises. On ne sait pas ce qu'il peut nous arriver. Tout est possible ! ». Après tout, chacun a bien "Le droit de rêver".