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Marc Lavoine était l'invité de "Sept à Huit" dimanche. L'occasion pour le chanteur et comédien de faire la promotion de son autobiographie "L'homme qui ment" sortie en début d'année en décrivant une fois de plus la relation qu'entretenait ses parents et notamment les nombreuses infidélités de son père. « Ce qui m'a un peu brisé le cœur, c'est que je devais tenir le secret de mon père malgré tout sans mentir, et être honnête avec ma mère, c'est-à-dire lui donner des clés sans pour autant dénon­cer, dési­gner, ou colla­bo­rer » a-t-il expliqué, tout en rappelant qu'« un enfant n'est pas là pour dési­gner ses parents ou les juger ».

"On m'appelait Gras-double, j'en ai souffert"

Celui qui incarnera Grand Monsieur dans la pièce "Le poisson belge" de Léonore Confino au théâtre de La Pépinière à la rentrée a souhaité se démarquer de son père en réaffirmant sa fidélité sur TF1. « Il y a une phrase de Zsa Zsa Gabor qui dit : "Je suis très mauvaise en matière de sexua­lité parce que j'étais toujours été mariée", et je vous avoue que j'ai toujours été très très amou­reux des femmes que je côtoyais » a-t-il avoué, précisant par ailleurs qu'il n'est « pas tellement menteur » mais plutôt « un enjoliveur ».

S'il se présente comme un homme rangé, celui qui fera très bientôt son entrée au Musée Grévin n'a pas toujours été aussi sage. « Ça a été ma première façon de dire bonjour aux gens. Je bais­sais mon panta­lon, en disant : "Je suis un garçon, je m'appelle Marc" » a-t-il renchéri avec humour, lui qu'on surnommait « Gras-double » à l'école pour quelques kilos en trop et qui est désormais le fantasme numéro un des femmes infidèles. « C'est rigolo, les femmes ne manquent pas d'audace, ni d'humour mais ce n'est pas pour ça que j'ai envie d'être reconnu » a-t-il d'ailleurs conclu à ce sujet.